Découverts sur les blogs américains en 2007, les New-Yorkais de Vampire Weekend signent un premier album éclatant, entre pop fourmillante et sonorités africaines.

Ils ont toujours les crocs. Cinq ans après leur premier album, les Américains Vampire Weekend clôturent leur ″trilogie accidentelle″ avec l'aventureux ″Modern Vampires Of The City″.

Le groupe de Brooklyn vient de signer un appréciable Contra. Conversation avec de potentiels Talking Heads du futur : air emprunté et créativité.

Fidèles à une tradition de groupe new-yorkais équipé en neurones, Ezra Koenig et ses amis ne pouvaient aborder le troisième album autrement que par le prisme de la remise en question créative. Avec bonheur.