Le philosophe et journaliste mène depuis de nombreuses années des entretiens avec des personnalités du monde artistique, littéraire, politique, scientifique et religieux pour la presse écrite et pour la télévision. Dans les conversations ici rassemblées, vingt de ces personnalités, parmi lesquelles P. de Carolis, F. Hébrard, D. Decoin, H. Grimaud ou J. d'Ormesson, évoquent la question de Dieu.

Le maître du bouddhisme tibétain propose des exercices pour se défaire des conditionnements et des sensations d'angoisse grâce à une meilleure connaissance de soi.

L'auteure analyse les versets 28 et 29 du Deutéronome à la lumière des manuscrits exhumés au milieu du XXe siècle au coeur de Qumrân, sur les rives de la mer Morte. Elle confronte les résultats obtenus à quelques textes majeurs du Nouveau Testament et de la littérature rabbinique.

Cet ouvrage s'efforce d'exposer les aspects récurrents de la tradition carmélite. Son but est de faire connaître la spiritualité et la sagesse de cette communauté de religieux qui existe depuis huit cents ans. Une tradition de spiritualité, c'est comme une ancienne route. Elle est façonnée par le cours du temps, et bien usée par les voyageurs. Les gens continuent à suivre ce chemin parce qu'il a prouvé qu'il était fiable. Le pèlerin d'aujourdhui a confiance en ses détours grâce à de nombreux témoignages. La tradition carmélite est exactement comme cette ancienne voie. Elle nous révèle l'histoire de la présence de Dieu à l'aide d'une langue et d'images qui lui sont personnelles, mais pas exclusivement. Au cours de leur longue histoire, les Carmes ont préféré certaines images et certains thèmes de la tradition chrétienne ; mais ils en ont aussi tiré de leur imagination propre qu'ils ont ajoutés au thésaurus chrétien. La tradition carmélite offre un langage pour l'âme qui l'aide à découvrir la Présence de Dieu au plus profond de nos vies. C'est un langage, de calme attentif, dans l'attente de l'approche de l'amant. Cette voie carmélite, née de la tentative de vivre dans l'allégeance à Jésus Christ, est un cheminement d'autrefois pour un pèlerin d'aujourd'hui.

Au cur oie la crise profonde que traversaient les chrétiens dans les années qui ont suivi le concile vatican II, maurice zundel ne combattait pas directement sur les terrains du dogme, de la morale ou de la liturgie. Il prêchait le grand mystère de Dieu et de l'homme. S'il y a un problème, dit-il, c'est le problème (le ce que nous sommes, le problème de l'homme ! " " Il était important, précise-t-il à son auditoire à la fin (le sa première causerie, que nous nous mettions d'accord sur cette expérience initiale de l'homme qui est le sentiment admirable de son inviolabilité. Je pense que rien n'est plus fart, rien n'est plus évident, rien n'est plus universel. C'est là que commence proprement l'expérience de l'homme. Quand l'homme refuse (l'être un instrument alors, du même coup, il revendique d'être la source et l'origine de ses actes. Alors il commence à s'éveiller à sa véritable dimension, il commence à entrer dans la merveilleuse aventure que nous avons à courir, et qui peut se résumer en un mot : se faire homme ! " Avec son talent oratoire, son style inimitable, la force de ses convictions puisées dans le silence intérieur et la méditation, malgré d'inévitables redites et des passages qui datent un peu, zundel offre dans cette retraite à timadeuc (prêchée en 1973 aux moines de cette abbaye) un parcours passionnant sur la vie chrétienne qui a pour sources et pour horizons la fidélité de Dieu et la grandeur de l'homme.

A partir de textes anciens et contemporains de la sagesse juive, Pauline Bebe, première femme rabbin de France, propose une philosophie de la vie concrète, pour vivre sa vie pleinement et non pas la rêver. Pour ceux, croyants ou incroyants, qui sont en quête de sens.

Témoignages de personnes qui ont installé leur vie dans la dimension du sacré.