Dans cet essai, les auteurs ont cherché les fondements explicatifs du vieillissement et s'interrogent sur l'ambivalence du concept du bien vieillir. D'un côté il importe à la personne âgée de redevenir ce qu'elle n'est plus, sans pouvoir y réussir vraiment, mais, d'autre part, tout est mis en oeuvre pour son asservissement.

L'auteur a convoqué un certain nombre de penseurs d'époques diverses autour du thème de la vieillesse. Aristote dialogue ainsi avec R. Barthes, Alain, L. Andreas-Salomé, S. Swetchine ou encore F. Bacon, abordant chacun un aspect de ce thème dans une réflexion collective sur les raisons du déni de la vieillesse dans la société contemporaine. Electre 2015

L'auteur propose d'aborder avec philosophie les questions liées à l'âge et au vieillissement, qu'elles concernent le corps, le rapport à la mort, la dignité du vivant, le sens du travail, la mémoire du passé, les autres générations, etc. Réflexion et guide pratique illustrés de dessins d'humour, d'un portrait chinois, de chansons, poèmes et tableaux. Electre 2015

Un essai sur la représentation de la vieillesse dans la société d'aujourd'hui, qui fait preuve de jeunisme en refusant de vieillir et de mourir. Le philosophe analyse les dérives liées à cette volonté d'immortalité, qui se développe notamment dans le domaine cosmétique ou dans la publicité, et tente de réhabiliter la vieillesse dans ce qu'elle est capable d'enseigner et de transmettre. ©Electre 2015

Le sociologue et le philosophe s'interrogent sur les fondements explicatifs du vieillissement et sur l'ambivalence du concept du bien vieillir. D'une part, il importe à la personne âgée de redevenir ce qu'elle n'est plus, sans pouvoir y réussir vraiment, et d'autre part, tout est mis en oeuvre pour son asservissement. Le message porté ainsi par la société est contradictoire. ©Electre 2018

S'appuie notamment sur l'exemple des altérations de la mémoire, qui révèlent par contraste le rôle jouée par celle-ci dans l'identité personnelle, pour traiter de la question de la vieillesse en liaison avec celles de la mémoire et de la personne. Citation extraite des