"Sylva" - forêt primaire en latin - n'est pas une exposition au sens habituel du terme : c'est une immersion sensorielle dans une forêt virtuelle en plein coeur d'une ville, Angers. Montée dans le bâtiment historique de la collégiale Saint-Martin, sur près de mille mètres carrés, cette exposition permet au visiteur de se promener entre cent cinquante arbres en tissus, créés de toutes pièces. À l'origine de cette création, le collectif angevin Lucie Lom, qui réunit sous une signature commune Philippe Leduc, Marc-Antoine Mathieu et Élisa Fache.

Chef étoilé au Michelin pour son restaurant Une Île à Angers, Gérard Bossé n'appartient pas au seul milieu, très fermé, de la grande cuisine. Issu d'un autre univers et ouvert sur celui des arts, en particulier la musique, ce chef mérite bien de partager son titre avec les chefs d'orchestre.

Près de trente ans après la découverte d’un ensemble monumental antique, de nouvelles fouilles préventives menées au sein de l’école des Arts et Métiers à Angers ont mis au jour deux logis médiévaux successifs qui accompagnent l’urbanisation progressive de la berge de la Maine. Les latrines du second logis, dont l’occupation se prolonge jusqu’au début du XXe siècle, livrent des informations archéologiques rares sur la vie quotidienne d’un immeuble de rapport dans un quartier populaire d’Angers.

La communauté urbaine Angers Loire Métropole (Maine-et-Loire) a retenu le groupement composé d'Engie solutions, Suez, La Poste et VYV pour déployer son projet de smart city. Stationnement, allègement des procédures administratives, circulation urbaine : le citoyen doit pouvoir bénéficier de services connectés et être impliqué dans leur définition. Budget annoncé dans le cadre de ce projet : 178 millions d'euros. Détails. Quelques données chiffrées.

Dans l'hypercentre d'Angers, Christophe Béchu, maire de la ville jusqu'en 2022 et actuellement ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, a lancé le projet d'un vaste parking de 300 places implanté sur... des vestiges antiques. De quoi s'attirer les foudres des écolos, des associations de protection du patrimoine et des riverains.