Les rapports entre la discipline architecturale et la réflexivité sont étudiés dans une perspective sociologique, philosophique et urbanistique.

Ce livre est l'histoire d'une amitié, puisqu'il est issu de vingt ans de conversations avec Paolo Conti, écrivain et journaliste italien. II est né aussi du besoin de comprendre les processus de création contemporains, en tenant compte des passions politiques et sociales de notre temps qui ont bouleversé et bouleverseront notre façon d'habiter la ville.

P. Bouchain décrit sa méthode de travail en architecture, la part de travail du constructeur et celle du scénographe. Il tient compte de nos habitudes comme de la convivialité et de l'aspect économique. Il invite paysagistes, artistes, cinéastes ou philosophes à prendre la parole. Points de vue de Daniel Buren, de Gilles Clément, de Jean Lautrey ou de Michel Onfray.

Publication des cours donnés par l'architecte à la Delft University of technology. Il y expose le contexte professionnel et les idées qui sous-tendent son oeuvre. Il présente un panorama d'objets architecturaux et de dessins mettant l'accent sur l'expérience pratique et l'évaluation de l'usage des bâtiments.

Essai mêlant information technique et réflexion sur le devenir de l'humanité en quête d'un environnement habitable. Considérées à la fois comme des prodiges de technologie, d'esthétisme et comme antiécologiques, les tours sont ici étudiées. L'auteur évoque l'histoire de l'ascenseur, des premiers gratte-ciel, évalue les tours en cours de construction et leur rôle dans le paysage urbain.

Qu'est-ce qu'un labyrinthe, au sens courant du terme, sinon un dédale ou un lieu où l'on se fourvoie ? Le monde actuel est lui-même une inextricable confusion. Quant aux parcs contemporains, constitués sur des critères ludiques (le labyrinthe circulaire de l'Arboretum de Québec, celui planté dans l'eau de Getty Center à Los Angeles), ils n'ont pas grand-chose en commun avec le labyrinthe crétois.

A l'occasion d'une expositon montrée à Liège en avril 2009, le sociologue D. Vander Gucht confronte l'architecte Y. Weinand, le philosophe D. Darcis et leurs travaux respectifs autour du temps, de l'espace, du langage et du corps.

Traite de la façon dont le lieu (qui est l'espace singulier) a été travaillé et transformé par l'architecture à travers l'histoire, les cultures et les styles de toutes les époques, de tous les pays. L'architecture n'est pas ici considérée comme un secteur à part de l'existence mais comme une dimension centrale de celle-ci.

Un ouvrage qui se présente comme un essai de vulgarisation et qui tente de définir ce qu'est l'architecture.

Deux courts essais du philosophe et sociologue consacrés à l'architecture et à l'urbanisme.

A l'occasion d'une exposition à la Cité de l'architecture en 2013, l'architecte partage ses réflexions sur l'avenir de sa profession dans un contexte de renforcement de la réglementation et de globalisation.