Nouvelles technologies, normes Iso 9000, spécialisation sur un secteur d'activité, tout est bon pour se faire une place au soleil sur le marché des prestataires en archivage...

Les années 90 ont beau représenter l'avènement du disque optique et de la numérisation, le papier n'en a pas moins pris sa revanche et envahit les entreprises...

L'inventaire muséographique a des similitudes avec l'inventaire archivistique. A partir de leurs expériences en Franche-Comté, un collectif de géographes, de sociologues et d'ethnologues propose d'en faire un outil de recherche.

Les archives intermédiaires représentent dans tout organisme ou entreprise environ 30 % du volume total des archives, mais ce sont les moins bien traitées dans les faits : présence de vrac, état de déshérence, etc. Il faut pourtant maîtriser tant soit peu cette masse de documents.

Comment les prestataires en archivage ont-ils enrichi leur activité avec le développement d'Internet ?

Le 25 et 26 mars 2010, à Louvain-la-Neuve, l'Université catholique de Louvain a accueilli les participants des deux journées d'études sur la valorisation des archives. Ce sujet très complexe recouvre de nombreux aspects et comprend autant d'acceptations du terme que de formes possibles et de défis posés.

Les entreprises françaises ne sont encore que 20% à externaliser la gestion de leurs archives. Cette activité en plein essor repose sur des pratiques rigoureuses de confidentialité et de sécurité