Les galeries se vident alors que les collectionneurs se ruent sur les foires, dont Art Basel en juin 2018. Une équation devenue de plus en plus complexe pour les marchands.

L'ancien PDG du groupe de luxe Kering est un collectionneur d'art contemporain aussi passionné qu'influent. En attendant l'ouverture de son musée à la Bourse de commerce de Paris, en 2019, une partie de sa collection s'expose à Rennes.

Pour la première fois, Bruce Toll, le propriétaire du Pissarro dont la famille Bauer a été spoliée en 1944, donne sa version.

Devenue annuelle en 2017, la Biennale Paris, ancienne Biennale des antiquaires, revient du 8 au 16 septembre 2018 au Grand Palais.

Les foires sont devenues indispensables aux galeries, trop souvent désertées le reste du temps. Mais elles pèsent aussi sur leur économie. Et mettent à malles refusées. Sommaire. La Fiac s'ouvre dans un climat mitigé pour le marché de l'art. Ce que vous verrez à la Fiac... des prises de risques maîtrisées. Ce que l'on aimerait voir à la Fiac... Mais où est donc passée la poésie ? A la Fiac, la délicate équation de la visibilité de la scène française.

Les événements philanthropiques apportent un supplément d'âme aux maisons de ventes et une visibilité médiatique, les rapprochant des artistes et de nouveaux clients potentiels.

Les montants adjugés en art et objets de collection ont atteint, en 2017, 1,47 milliard d’euros, soit une croissance de 5,4 % par rapport à 2016. Aux traditionnelles maisons de ventes s’ajoutent désormais de nombreux sites de ventes aux enchères ou de ventes privées. Pour les acheteurs, le choix entre ces différents modes de ventes qui sera dicté par leur profil et le budget consenti. Explications et détails. Quelques données chiffrées

A la tête de la Carpenters Workshop Gallery, le binôme français, Julien Lombrail et Loïc Le Gaillarda, fait du design une discipline spectaculaire, multipliant les lieux d'exposition et ciblant une clientèle aux moyens illimités.

Cette 45e édition s'ouvre dans un contexte de hausse du marché de l'art contemporain dans l'Hexagone. Explications sur une embellie porteuse.

Dénicher un chef d'oeuvre dans une cave, un vieux grenier ou même un somptueux salon : tel est le rêve de tout commissaire-priseur, marchand ou expert. Mais découvrir un trésor ne suffit pas, il faut ensuite l'authentifier et scénariser sa découverte, pour espérer voir s'envoler les enchères.

Ces dernières semaines, une série de ventes a affolé les compteurs. Les objets de cette frénésie ? De banals contenus numériques (vidéos, images, tweets, memes...), soudain devenus précieux grâce à la technologie des NFT, qui permet de leur associer des certificats d’authenticité en vue de les commercialiser. Certains s’extasient devant ce juteux marché surgi de nulle part. D’autres crient à la bulle spéculative. Nous vous proposons dans les pages qui suivent d’explorer le phénomène.