Recueil de textes constituant une histoire de l'art moderne centrée sur le thème de l'anti-académisme. Ils évoquent notamment le goût partagé par G. Grosz et J. Dubuffet pour le graffiti ou le ressourcement de G. Courbet et de J. Ensor dans l'art populaire, mais aussi A. Jorn, R. Hausmann, M. Duchamp et J. Bosch. Ces artistes ont en commun leur refus du classicisme et du cartésianisme.

Vingt après la chute du mur de Berlin, " Les Promesses du passé " interroge l'ancienne opposition européenne Est/Ouest en revisitant l'histoire de l'art des pays du bloc communiste. Transnationale et transgénérationnelle, cette exposition propose les oeuvres de cinquante artistes issus, pour beaucoup d'entre eux, d'Europe centrale et orientale, mais aussi de bien au-delà de ses frontières.

Des contributions qui portent notamment sur l'interpénétration des domaines artistiques et politiques à l'époque du surréalisme. Sont abordés des sujets, des oeuvres et des auteurs représentatifs aussi bien du surréalisme historique que du surréalisme de l'après-guerre et d'aujourd'hui.

A partir d'études de cas interdisciplinaires d'oeuvres issues des avant-gardes artistiques des années 1960-1970, les auteurs examinent les interpénétrations entre avant-garde artistique et avant-garde politique, à une période marquée par de forts changements socio-culturels.