Sommaire. Détours par le 9e art. La bande dessinée numérique, un genre à part entière ?. Vraooum, Driiing, toc et plouf : le son en bande dessinée, entre texte et image. Hors-cadre(s) : observatoire de l'album et des littératures graphiques. F comme Fanzines. Zoom sur le prix Fernand-Baudin. Voir, toucher, lire : le livre d'artiste dans les marges. Zoom sur Occur Books depuis 2084 : inspirations graphiques du livre de demain. Donner à voir : de l'exposition à l'usage du design graphique. Question(s) de caractères. Zoom sur Nonpareille, une fonderie typographique.

Derrière ce nom énigmatique se cachent deux graphistes de talent, Maxime et Marco, dont le travail illustre quelques pochettes de la scène rock indépendante, celles de leurs groupes d'abord, puis au fil des rencontres celles de La Maison Tellier ou de Tahiti 80 entre autres.

Le graphisme corporate n'est-il qu'une question de création d'image pour les organisations ? Selon ce point de vue, la conception d'une identité visuelle doit répondre essentiellement à un enjeu : procurer à celles-ci une forme visuelle identifiante.

Débutant à la fin du mois de mai, le Festival international de l'affiche et du graphisme de Chaumont (Haute-Marne) s'est doté d'un nouveau directeur, Etienne Hervy, également responsable de la préfiguration du futur Centre international du graphisme qui s'installera dans cette même ville. Dans un entretien, il analyse la place du graphisme en France. De la typographie à l'affiche, du logotype à l'identité visuelle, la jeune génération a su élargir son champ d'action.

A travers l'ensemble de son oeuvre et en particulier ses travaux universitaires, Gérard Blanchard a ouvert une voie nouvelle pour les recherches sur des objets communicationnels, comme la typographie, la page et les questions éditoriales, jusque-là confinés dans les approches esthétiques. Philippe Quinton témoigne ici du rôle essentiel tenu par Gérard Blanchard dans son propre itinéraire scientifique construit à partir d'une expérience professionnelle dans le design.

Ces deux-là ont commencé par l'amitié. A 20 ans à peine, sur les bancs de l'école Emile Cohl de Lyon. Cinq ans plus tard, ils signent ensemble leur premier album et travailler en duo devient vite une évidence. Une évidence joyeuse qui bouscule le monde des albums jeunesse dont ils s'emploient à repousser les limites. Si « La Reine des fourmis a disparu » est leur plus grand succès, « Jésus Betz » est sans nul doute leur plus grande fierté.