Virus, bactéries et autres parasites sont aujourd'hui responsables du tiers des décès annuels dans le monde et représentent la première cause de mortalité dans les pays en développement. Rien de neuf sous le soleil : parmi les fléaux qui ont décimé l'humanité, les épidémies arrivent en tête de palmarès depuis des temps immémoriaux, loin devant les guerres ou les famines. Sommaire. De quoi l'épidémie est-elle le nom ? Les épidémies font-elles l'histoire ? Comment tout a commencé. De funestes compagnons de route. Six fléaux qui ont marqué leur temps. Vivre et laisser mourir.

A l'heure où la question "transgenre" est de plus en plus évoquée dans la société, les scientifiques découvrent que la définition biologique du sexe est plus complexe qu'ils ne l'avaient imaginée.

Le monstre de Frankenstein est sur le point d'être dépassé : aujourd'hui, les biologistes sont capables de créer des êtres artificiels. Pas seulement des copies synthétiques de créatures existantes, mais des formes de vie totalement nouvelles !

La biologie de synthèse a fait ces dernières années des avancées spectaculaires. Scientifiques, étudiants ou geeks manipulent les gènes pour fabriquer des bactéries sentant la banane mais aussi capables de combattre des maladies. Cependant, il ne s'agit désormais plus seulement de décrire - et de réécrire - le vivant, mais de l'inventer de toutes pièces et de dire ce qu'il doit être. Un débat qu'il serait insensé de laisser aux seuls savants.

Il n'y a pas que les microbes qui bravent l'enfer : dans les milieux où les conditions de vie sont a priori invivables, on trouve aussi de vrais... animaux ! Et voilà qui ouvre d'inattendues perspectives.

Les progrès de la biologie et l'interprétation de nouveaux fossiles éclairent l'apparition des premiers animaux lors de l'"exploration cambrienne".

La recherche dans les sciences de la vie et de la santé de la région Midi-Pyrénées fait peau neuve. Les maîtres mots : pluridisciplinarité et collaboration avec les industriels.

Les paléontologues croyaient disposer de bactéries fossiles vieilles de quelques 3,5 milliards d'années. Mais ces vestiges découverts en Australie voici une quinzaine d'années pourraient n'être que des produits minéraux issus d'une activité hydrothermale.

Les biologistes vivraient-ils, sous nos yeux, un changement de paradigme ? Le réductionnisme génétique qui a caractérisé la biologie du XXe siècle céderait la place à une vision plus globale de la cellule et de l'organisme. Un terrain sur lequel physiciens et informaticiens pourraient intervenir avec profit.

La persistance chez l'adulte de caractères juvéniles permet d'expliquer certains comportements humains. La biologie moderne l'ignore trop.