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Brizé, Stéphane (19..-....)

Article

Auteurs
Colombani, Florence Auteur du texte
Dans "Quelques heures de printemps", le "grand bon" du cinéma français révèle un tout autre visage. Sidérant.
Numéros de page :
1 p. / p. 126

Article

Auteurs
Kaganski, Serge Auteur du texte
Une tendance se dégage de la sélection française : le cinéma "social", reflet du monde tel que perçu par le prisme de l'actu, rassembleur et concret. Deux films, « La Tête haute » et « La Loi du marché », en sont l'illustration parfaite. Mais l'un s'en sort mieux que l'autre.
Numéros de page :
4 p. / p. 52-55

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Auteurs
Bégaudeau, François Auteur du texte
Le conformisme du cinéma français est flagrant à travers le traitement qu'il fait de la cruauté. Pourquoi a-t-il besoin de racheter ses anti-héros ? Analyse à l'occasion de la sortie du film de Stéphane Brizé, ″Quelques heures de printemps″.
Numéros de page :
3 p. / p. 54-56

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Auteurs
Carrière, Christophe Auteur du texte
A l'image de leurs films, Emmanuelle Bercot et Stéphane Brizé sont exigeants et passionnés. Après les succès de "La Tête haute" et de "La Loi du marché", ils signent, l'une, "La Fille de Brest", l'autre, "Une Vie". Grâce à L'Express, ils se rencontrent enfin. Pour une conversation enthousiaste.
Numéros de page :
4 p. / p. 90-93

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Auteurs
Narbonne, Christophe Auteur du texte
Stéphane Brizé retrouve Vincent Lindon, son acteur fétiche, pour un drame social qui autopsie la France en crise. Entouré de comédiens amateurs, la star française crève littéralement l'écran.
Numéros de page :
3 p. / p. 97-99

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Auteurs
Narbonne, Christophe Auteur du texte
Stéphane Brizé, le réalisateur d' « Une vie » répond à nos interrogations sur son adaptation très personnelle du roman de Guy de Maupassant, portrait d'une aristocrate idéaliste déçue par la vie, dont le maniérisme nous a laissés sur notre faim.
Numéros de page :
1 p. / p. 143

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Titres recencés : "La Tête haute" d'Emmanuelle Bercot ; "Comme un avion" de Bruno Podalydès ; "Loin de la foule déchaînée" de Thomas Vinterberg ; "La Loi du marché" de Stéphane Brizé ; "Cendres" d'Idrissa Guiro et Mélanie Pavy ; "L'Ombre des femmes" de Philippe Garrel ; "Contes italiens" de Paolo et Vittorio Taviani ; "Il était une fois en Amérique" de Sergio Leone.
Numéros de page :
8 p. / p. 109-116

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En sept longs métrages sur un peu plus de quinze ans, l'autodidacte Stéphane Brizé a fait évoluer son cinéma de façon impressionnante. Adepte depuis ses débuts d'un "intimisme à la française" qui s'attache au parcours intérieur de personnages à la fois singuliers et banals révélant au final une véritable complexité, ce cinéaste exigeant mais discret a fini par susciter l'adhésion d'un large public, de façon inattendue, avec "La Loi du marché", porté par sa troisième et triomphale collaboration avec l'acteur Vincent Lindon (César et Prix d'interprétation à Cannes).
Numéros de page :
8 p. / p. 14-21

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Auteurs
Bouvier, Stanislas Auteur du texte
Nous sommes en Normandie, au XIXe siècle. Des personnages en tenue de campagne s'adonnent à des travaux de jardinage. La caméra cadre, en plans serrés, le visage baigné de lumière d'une jeune femme tout occupée à sa tâche. Voici Jeanne, l'héroïne d'"Une Vie" de Stéphane Brizé, adaptation au cinéma du roman de Maupassant publié en 1883.
Numéros de page :
3 p. / p. 67-69

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Auteurs
Tessé, Jean-Philippe Auteur du texte
Retour sur "La Loi du marché", grand succès critique et public, et "film politique" de l'année.
Numéros de page :
3 p. / p. 14-16