Alors que le Covid-19 frappe durement le géant sud-américain, le président populiste n'en fait qu'à sa tête.

De retour dans la majorité, aux côtés de Félix Tshisekedi, après quinze années dans le costume d’opposant, l'ancien vice-président sort du silence. Interview exclusive.

Franck, le fils de Paul, n'approuve pas, mais ne désavoue pas non plus, le « mouvement citoyen » qui promeut son image. En attendant de savoir s'il nourrit des ambitions présidentielles, le point sur ses atouts et sur ses handicaps.

Qu'elles mettent en scène des présidents et premiers ministres humanistes (« A la Maison Blanche », « Borgen ») ou diaboliques(« House of Cards »), on peut déceler certains traits communs dans la vision du pouvoir que proposent les séries politiques.

Chauffagiste, videur de discothèque, contrebandier... Le Premier ministre kosovar a pratiqué tous les métiers et recouru à tous les moyens. Accusé de crimes de guerre, il a été relaxé, faute de témoin. Dans ce petit pays des Balkans, gare à ceux qui ne respectent pas l'omerta.

Les médias voient leur tirage et leur audience dopés par l'effet Trump. Un trompe-l'oeil qui masque une réalité inquiétante. Explications.

En France, avec la cote de popularité du président Emmanuel Macron passée sous les 30%, un divorce entre grandes villes et France périphérique et un ascenseur social en panne, le torchon brûle entre le peuple et les élites. Mais qu'en est-il ailleurs ? Cinq philosophes – l'Américain Roger Berkowitz, l'Italienne Nadia Urbinati, le Britannique Julian Baggini, l'Allemande Svenja Flasspöhler et le Hongrois György Dragomán – exposent la situation de leur pays et nous font prendre la mesure d'une colère mondialisée. De quelle élite pourrions-nous purement et simplement nous débarrasser ?

La clique de gérontocrates qui soutient Bouteflika ne semble pas prête à céder le pouvoir et enchaîne les manoeuvres dilatoires.

Séduire un électorat, conquérir des parts de marché, s'assurer une clientèle... Quand les dirigeants libéraux quêtent le suffrage populaire, ils tiennent un discours toujours identique : le marché, c'est la vraie démocratie. Celle des actionnaires, qui votent avec leur argent ; celle des entreprises du numérique, qui dynamitent les statuts acquis ; celle des médias privés, qui se soucieraient surtout de plaire au public. Sommaire. Le marché, défenseur des foules. Le snobisme des progressistes réjouit les conservateurs. L’ère de la techno-démagogie. De la consigne au recyclage.