Les insoumis plaident pour une liste unique en 2024. Mais ils sont bien seuls : écologistes et communistes tenteront probablement leur chance en solitaire. Si leur appel à débattre de l’Europe n’est pas entendu, les socialistes se prépareront à se lancer séparément.

Arrivé en tête des élections législatives, le Parti de la liberté (FPÖ) se retrouve dans une situation paradoxale : il devient le parti le plus influent du pays, mais a peu de chances de gouverner, explique ce journal de gauche

L’alliance autour de Jean-Luc Mélenchon change la donne, d’autant que la droite est divisée, mais décrocher la majorité parlementaire risque d’être difficile. Sommaire. Législatives. La gauche a-t-elle une chance ? La "tortue" n’est pas encore Premier ministre. Des focus par pays : Argentine, Italie, Ukraine.

« Les extrêmes se rejoignent. » Combien de fois a-t-on entendu des tenants de la fameuse – ou fumeuse – « théorie du fer à cheval » s’inquiéter d’une convergence des radicalités ? Mais, alors que l’actuel chef de l’État comptait au nombre de ces vigies républicaines, son camp gouverne désormais avec le soutien tacite du Rassemblement national. Une commune brutalité explique ce rapprochement.

Les quatre hommes se côtoient depuis des années. Ils ont pu s'allier ou s'affronter. Aujourd'hui, ils sont incapables de fédérer la gauche, préparant sa défaite aux européennes.

Donnés favoris aux élections anticipées de février 2025, les conservateurs pourraient remporter la chancellerie. Mais pour cela ils devront être en mesure de former une coalition – ce qui pourrait se révéler ardu.

Tandis que l'éternelle candidate sillonnait la France, les états-majors du NFP savouraient leurs congés. Et fourbissaient leurs armes.

En gardant ses distances avec les alliés macronistes, le patron des députés Droite républicaine fragilise le Premier ministre qu'il est censé soutenir.

Pendant trois mois de débats laborieux sur le budget, les ambitions rivales des grands chefs et les stratégies contradictoires des groupes politiques ont mené, presque mécaniquement, à une impasse. C'est un échec cuisant pour ceux qui espéraient que l'absence de majorité claire donnerait naissance à un parlementarisme à la française.

Après la chute du gouvernement Barnier, Emmanuel Macron entend négocier un pacte de non-censure entre partis de bonne volonté pour permettre au pays d'être gouverné. Mais le chemin est étroit pour éviter la crise de régime. Jusqu'où peut aller la direction du PS dans sa recherche d'un compromis ? Et l'emprise du RN peut-elle cesser ? Analyses et récits des coulisses. Sommaire. Y a-t-il un plan B ? Frédéric Dabi : "L'image de Macron s'est dissoute dans la dissolution". Le coup de Faure. Marine Le Pen, mal à droite.

Depuis six mois, l’obstination de M. Emmanuel Macron à ignorer le désaveu électoral dont il a été l’objet provoque une situation de blocage politique et d’instabilité ministérielle. Pour se maintenir au pouvoir, il cherche à créer une coalition de « troisième force » allant de la droite au centre gauche. En choisissant M. François Bayrou comme premier ministre, le président français tire-t-il sa dernière cartouche ?

Si le chef du Parti de la liberté (FPÖ) parvient à sceller une alliance avec les conservateurs, il deviendra le premier homme politique d’extrême droite à diriger l’Autriche depuis 1945. Un exploit qu’il doit à la radicalité de ses idées.