L'allongement de la durée de vie a provoqué une augmentation des cas de maladies liées au vieillissement. Cet ouvrage présente le développement du champ de connaissances et de pratiques provoqué par la prise en charge de ces maladies.

Evocation par le texte et par l’image de l’immigration algérienne en France de 1954 à 1962. Aborde la vie sociale, le rapport à la société française, l'engagement politique, la vie culturelle et artistique, les événements du 17 octobre 1961, l’indépendance.

L'auteure étudie la migration des femmes en Europe, et principalement en Italie. Elle évoque notamment leur insertion dans le marché du travail, leur santé ou encore les transformations identitaires. ©Electre 2018

En 2002, Deborah Rodriguez arrive à Kaboul avec une petite organisation humanitaire. Elle découvre que son expérience de coiffeuse peut changer la vie des femmes afghanes. Elle se bat pour créer l'école de beauté de Kaboul. Elle nous fait découvrir la vie des femmes et des adolescentes afghanes, et la société dans laquelle elles n'ont quasiment aucun droit.

Autobiographie de la parlementaire hollandaise d'origine somalienne Ayaan Hirsi Ali. Fille d'un opposant célèbre à la dictature somalienne, elle a connu l'exil très jeune, puis les camps de réfugiés. Forcée à l'excision, vouée à un mariage forcé, elle n'a dû qu'à son courage de s'échapper pour trouver refuge en Hollande.

Marie Grandin (1864-1905) se rend aux Etats-Unis en 1892 avec son mari sculpteur, Léon, qui collabore à la réalisation d'une fontaine pour l'Exposition universelle de Chicago. On célèbre alors le quatrième centenaire de la découverte de l'Amérique sur fond d'élections présidentielles, et ce séjour d'un an est bien une découverte pour la jeune femme, au point de changer le cours de sa vie. Son récit, injustement oublié depuis 1894, brosse un savoureux portrait de la société américaine et fait rivaliser les paysages urbains ou industriels avec les beautés naturelles. Dans la rue comme dans les pensions où loge le couple, dans les écoles comme dans les soirées en ville, Marie observe les moeurs d'un pays encore neuf ; elle s'indigne quelquefois mais s'émerveille le plus souvent, surtout pour constater à quel point les Américaines sont des pionnières en matière de liberté. En 1895, elle retournera définitivement dans le Nouveau Monde pour une nouvelle vie sans Léon Grandin.