Grâce à une politique de dépistages massifs, un système de santé robuste et... un peu de chance, nos voisins ont mieux géré la crise sanitaire. Sommaire. Angela Merkel, le calme dans les tempêtes. Les quatre figures de la "Corona-Krise". Le cliché de l'autorité allemande. Budget : la revanche de la fourmi. Drâger, le poumon du Mittelstand.

Le président de la République doit renoncer à bon nombre de chantiers et de thèmes qui devaient, selon lui, assurer sa réélection en 2022.

Des collectifs de défense des personnes touchées par le Covid-19 ont éclos. L'issue de ces initiatives à forte résonance politique est incertaine.

A Primrose Hill, où vit encore le père du Premier ministre, les habitants cherchent à s'y retrouver dans le dédales des aides gouvernementales.

Le président ne croit pas à la dangerosité du coronavirus et écarte ceux qui soutiennent le contraire. Comme son ministre de la Santé.

Face au géant américain Palantir, des start-up françaises se mobilisent et proposent au gouvernement leurs outils d'aide au déconfinement.

Après plusieurs semaines passées en réanimation, les patients les plus fragiles entament un long parcours avant de recouvrir leur état de santé.

Optimiste tempéré, le libéral suédois Johan Norberg célèbre les vertus de la mondialisation, même en ces temps troublés, il met en garde contre les replis nationalistes.

Privés de leurs librairies, les Français se convertissent aux ouvrages dématérialisés, qu'ils avaient jusque là dédaignés.

Pas besoin d'un diplôme en économie pour comprendre : la dette publique va exploser et la richesse nationale s'effondrer. Une question est sur toutes les lèvres : à qui envoyer la facture ? Pas aux patrons de PME déjà touchés. Pas aux classes populaires déjà sous l'eau. Aux multinationales ? Aux financiers ? Oui, à condition que le gouvernement le souhaite vraiment. Sommaire. Qui va payer ? Patrons, l'addition ! Ceux qui morflent déjà : restauration, tourisme, culture. La crise éco, cette grande faucheuse.

Emmanuel Macron a choisi le retour dans les établissements comme symbole de la fin du confinement. Mais derrière cette décision politique, l'intendance peine à suivre... Sommaire. Les collés du 11 mai. Paroles de profs : "Un retour en classe s'impose mais pas n'importe comment". Reprise des cours : comment font-ils ailleurs ?

Des millions de Français ont cauchemardé après les déclarations de Marcon et du Pr Delfraissy, président du conseil scientifique, qui envisageaient de prolonger le confinement des personnes âgées. Le rétropédalage élyséen devant la levée de lboucliers ne résout pas la tentation cachée : l'éloignement des seniors.