Claire Marin est écrivain et philosophe. Elle enseigne en classes préparatoires en banlieue parisienne. Elle est l'auteur de "Hors de moi" (Allia), qui retrace son parcours de malade. Et a publié l'an passé "Ruptures" (L'Observatoire), qui porte sur l'expérience de la perte. Rencontre.

Avant, on braquait les banques ou les bijoux des rombières. Aujourd'hui, on braque les masques destinés aux hôpitaux. Avant, on allait s'acheter une chemisettes demi-saison "made in Taïwan" pour l'été. Aujourd'hui, on espère que l'ami chinois nous vendra ses stocks FFP2 et l'on se fabrique de jolis masques artisanaux avec des tutos...

Le président a reçu "Le Point" pour une conversation à bâtons rompus. Pour la première fois, il raconte comment il vit cette crise sans précédent et il répond aux polémiques.

Début janvier, le Covid-19 n'était pour les Français qu'une très lointaine maladie. Et puis... Enquête sur un trimestre de crise au sein du pouvoir.

A la peur du virus se superpose l'angoisse de la récession économique chez les Français interrogés par l'Ifop, avec "Le Point" et la Fondation Jean-Jaurès.

En misant sur les opérations lucratives, les établissements se sont suréquipés. Un atout face au Covid-19.

Pour le dirigeant de Scor, géant mondial de la réassurance et spécialiste du risque, la violence de la pandémie et l'ampleur de ses conséquences économiques pourraient changer le regard de l'homme sur le monde.

Selon le publicitaire, chairman de TBWA Worldwide et père du concept de disruption, nous devrons renoncer à toutes les conventions qui régissaient nos vies. C'est le début d'une ère "d'inventivité solidaire".

Production à l’arrêt, ventes en chute libre, nouvelles collections au placard... Comme la plupart des secteurs, le luxe est lourdement impacté par la pandémie. Après un moment de déni, les grandes maisons se sont mises en ordre de bataille, proposant leur carnet de chèques mais aussi leur savoir-faire aux hôpitaux. Fabrication de gel hydroalcoolique, confection de masques, financement d’imprimantes 3D : une contribution inédite qui permet à un milieu souvent brocardé de communiquer sur son utilité sociale.

Le 17 avril 2020, au retour d’un reportage à Wuhan, berceau de la pandémie due au coronavirus, le photographe Gilles Sabrié, installé en Chine, a été mis à l’isolement dans une chambre d’hôtel à Pékin. Quatorze jours d’une curieuse monotonie.

La Torah ne les a pas préparées à ça. Les communautés juives ultraorthodoxes israéliennes paient un lourd tribut au coronavirus. Isolées du monde et des médias, menées par des rabbins rétifs aux directives de l’Etat, ces enclaves religieuses ont tardé à se prémunir du danger. Leurs quartiers, leurs villes sont les principaux foyers d’infection du pays.

Le printemps 2020 s’annonçait riche en actualités. Expositions, ouvertures de boutiques, chantiers, beaucoup ont dû s’adapter. Le très actif galeriste parisien fourmillait de projets. En attendant la reprise, il dévoile chaque jour sur son site une oeuvre “qui n’a pas de prix”.