Drôle de saison en perspective avec la menace de la deuxième vague de contamination. Certains vont devoir rester "confinés volontaires". Les autres pourront circuler, mais pour aller où , avec qui, et pour faire quoi ?

Le politologue vient de publier "la Pandémie par-delà les peurs : réinventer l'Etat-nation ?", livre numérique qui tire un bilan important sur la crise que nous vivons et esquisse des pistes pour la suite, à la travers la démondialisation.

Si nombre d'observateurs, de tous bords, admettent que la crise sanitaire que nous traversons est l'occasion de repenser notre modèle de société, d'autres estiment que la mondialisation est indépassable. Petit tour d'horizon.

Dans ce texte très personnel, l’auteure s’interroge sur la place des psychologues à l’heure du confinement. Comment sont-ils perçus par la société ? Sont-ils considérés comme des « professionnels de santé » indispensables ? Comment garder le lien avec les patients malgré des cabinets fermés ? Et que penser des téléconsultations ? Si le contexte semble difficile pour ces professionnels de la santé mentale, il fait naître également de nouvelles solidarités. Entre soignants qui s’échangent des conseils, mais aussi au sein même de toute la société.

Rien ne semble les réunir. Pourtant, c’est ensemble que la présidente du conseil régional d’Ile-de-France et la patronne de la RATP doivent gérer l’infernal casse-tête du déconfinement des transports franciliens. Une mission périlleuse pour laquelle, malgré leurs différends, elles collaborent étroitement.

Que faire quand un quotidien déjà difficile se voit bouleversé par une pandémie ? Prendre une caméra et filmer l’entraide qui s’organise. C’est le programme de deux apprentis réalisateurs de l’école fondée par le cinéaste Ladj Ly en Seine-Saint-Denis. En ce printemps 2020 si singulier, ils déambulent dans les cités de Montfermeil et de Clichy-sous-Bois où a été tourné "Les Misérables". Eux préfèrent s’attarder sur la solidarité et la débrouille qui ont permis à ces quartiers populaires de tenir pendant le confinement.

Début mars 2020, il surfait encore sur une économie florissante, censée favoriser sa réélection en novembre. Puis la pandémie due au coronavirus est arrivée. Et Donald Trump a dû rester enfermé pendant cinq semaines à la Maison Blanche. Cinq semaines pendant lesquelles le Janus à toupet blond s’est montré plus versatile que jamais. Oscillant entre la figure du rassembleur supposé protéger le pays et celle du candidat prêt à tout pour relancer la machine économique au plus vite.

Galeristes, marchands d’art et maisons de ventes rivalisent de zèle pour soutenir hôpitaux, ehpad et associations d’aide à ceux que la crise sanitaire fragilise. Y compris au sein de ses propres rangs, en épaulant petites structures et artistes indépendants. Reste à savoir si cette belle générosité perdurera à la reprise des affaires...

L'opinion publique les adore, les politiques les consultent, les médias se les disputent... Les blouses blanches sont devenues des stars. Jusqu'à avoir trop d'influence ? Sommaire. Les incontournables du Covid-19. Académie de médecine : de ringarde à rockstar. Comment les chaînes de télévision s'arrachent les grands noms. Rivalités, jalousies, inimitiés : l'hôpital, cet univers impitoyable.

Accusée d'avoir favorisé la propagation du coronavirus, la communauté religieuse s'inquiète de la méfiance qu'elle suscite.

Pour certains dirigeants, tous les moyens sont bons pour promouvoir leur image. Y compris la distribution de matériel sanitaire à leur effigie.

Pour casser les chaînes de contamination et se débarrasser du virus, il faut identifier les personnes infectées et leurs contacts. Mission impossible ?