Le déploiement à grande échelle de cette nouvelle arme antivirus va à l'encontre de l'avis de la Haute Autorité de santé.

Covid oblige, le gouvernement veut déplacer ces élections intermédiaires, qui auraient pu servir de tremplin pour la présidentielle à certains rivaux du chef de l'Etat.

Des chiffres de contamination sous-estimés. Des données hospitalières nébuleuses. Une comptabilité sanitaire contestée. "Marianne" vous explique tout.

En réaction aux conséquences économiques de la crise du Covid-19, le gouvernement français cherche à adapter son modèle économique, la reconversion primant sur les transitions, et pallier à son déficit 2020 jaugé à 223 milliards d'euros et à une récession à moins 11%. Pour cela, le gouvernement compte éviter le financement des entreprises zombies, ni concurrentielles, ni attractives, tout en se concentrant sur un "suivi systématique des conséquences économiques, psychologiques et sociales de la pandémie" recommandé par le Conseil scientifique.

Bien que la crise du Covid-19 ait touché la planète entière, les stratégies économiques nationales, couplées à la propagation du virus, créent des écarts de croissance majeurs entre les différents Etats, écart économique atteignant un record depuis 40 ans au deuxième semestre 2020. Dans ce contexte, les inégalités intra et internationales vont encore s'accroître et les puissances mondiales vont se redessiner : la Chine pourrait continuer sur sa lancée de rebond économique, l'Europe rester au ralenti économique et les Etats-Unis souffrir sur le long terme de leur politique toxique et divisée.

La crise de Covid-19 a redessiné les contours des épiceries de proximité, profitant à certaines chaines qui ont multiplié leurs produits et leurs services, mais pénalisant d'autres comme en témoigne la chute de 30% du cours de l'action Seven & i Holdings, géant du secteur, depuis 2018. Données chiffrées. Détails. Article court.

Dès le début du confinement, de nombreuses questions se sont posées concernant le réaménagement du cadre de travail des psychologues et des thérapeutes. L’accompagnement en présentiel avec l’appui du non-verbal et l’ambiance "in vivo" d’une séance ont fait place au travail par téléphone, en visioconférence ou à des séances avec le port du masque pour chacun. Ces bouleversements divers ont été l’occasion d’interroger ce qui spécifiait le soin, ou le soutien psychologique, afin de redéfinir les contours d’un cadre thérapeutique malléable, vivant, solide, créatif.

En octobre dernier, à l'aube d'un confinement qui allait provoquer une nouvelle fermeture des universités, Emmanuel Macron avait eu quelques mots pour la jeunesse et l'épreuve "terrible" qu'elle traversait, entre privations et fragilités ministérielles : "C'est dur d'avoir 20 ans en 2020", estimait alors le président. Cinq mois plus tard, la situation ne paraît guère plus riante pour les millions de lycéens, d'étudiants, d'apprentis ou de jeunes salariés qui multiplient les appels au secours derrière la même bannière d'une "génération sacrifiée". Sommaire. Le temps des sacrifices.

Après un printemps2020 meurtrier, le responsable de la stratégie sanitaire controversée du royaume déclare à "L'Express" que la situation est sous contrôle, malgré une hausse des contaminations.

Soins continus, charge émotionnelle... Alors que les lits se remplissent chaque jour davantage, les saignants essaient de « tenir le coup ».

Afin de ne pas répéter les erreurs commises pendant l'été et à la rentrée, le gouvernement devrait dès aujourd'hui réfléchir à la meilleure stratégie pour sortir peu à peu du confinement.

Protéger à tout prix, jusqu'au confinement, la population contre le Covid-19 sans tenir compte des désastres annoncés sur la santé globale des Français, sur l'avenir de la jeunesse, sur l'activité économique du pays et son cortège de catastrophes... Est-ce que ça vaut vraiment le coup ? Sommaire. Leur vie compte aussi. L'effet double lame. La France du (très) grand écart. Avoir 20 ans entre quatre murs. Macron peine à inventer la "covidémocratie"