Alors que le petit commerce offre les meilleures garanties sanitaires, le gouvernement persiste à privilégier la distribution à grande échelle, au risque d'éradiquer un pan essentiel de l'économie. Incompétence ou idéologie ?

Au 30 octobre 2020, la France s'est à nouveau confinée pour lutter contre la propagation de la Covid-19. Et les commerces non alimentaires dits "non essentiels", en dépit d'un lobbying intense, ont fermé de nouveau. Des aides colossales ont été débloquées par le gouvernement mais les commerçants militent pour l'allègement des contraintes dans cette période si décisive pour leur CA avant les fêtes de fin d'année. Témoignages de professionnels. Données chiffrées en % : part du CA annuel réalisé en novembre-décembre par secteur.

La pandémie de Covid--19 et ses conséquences désastreuses sur l'activité économique française aura confirmé qu'en période de crise les commerçants indépendants s'en sortent mieux que les groupes intégrés. Les raisons ? L'autonomie des patrons, dans leur magasin, la capacité à décider plus vite et à anticiper plus efficacement les tendances. Analyse. Données chiffrées (graphique) : évolution du CA des 100 premières enseignes du commerce en France, en fonction du modèle d'exploitation, entre 2009 et 2019.

Cacophonie, contradictions, ajustements, démentis et, surtout, grosse colère des commerçants et de certains élus locaux : les premiers jours du deuxième confinement n'ont rien eu d'un long fleuve tranquille pour le gouvernement. Il a fait face à une levée de boucliers des professionnels et de leurs représentants, révélant les inquiétudes et parfois la détresse de tout un pan de l'économie déjà durement touché par les dix semaines de mise en sommeil subies au printemps.

Contraints de s'adapter aux restrictions du deuxième confinement de l'automne 2020, pour lutter contre la pandémie de Covid-19, les magasins non-alimentaires se démènent pour continuer à répondre à la demande. Ce nouveau confinement intervient alors que le commerce spécialisé ne s'est pas remis du premier : il a enregistré une baisse de 16% de son chiffre d'affaires en cumul entre janvier et octobre 2020, selon Procos.

Comment "Grey's Anatomy" et "The Good Doctor", toutes deux situées dans un hôpital, et donc en première ligne, ont-elles intégré l'épidémie du Covid dans leurs fictions ?

Alors qu'un été déconfiné avait apporté un peu d'air, le deuxième confinement du 30 octobre a arrêté net l'exploitation de nombreux films. Si la réouverture tant attendue du 15 décembre promet un engorgement dans les salles entre nouveautés et reprises des films de la rentrée, tous garderont-ils leurs chances ?

Un danger réel pèse actuellement en France sur les lieux régionaux dédiés à l'art contemporain. Fragilisés et soumis à des impératifs capitalistes de productivité et de rentabilité par les collectivités publiques, ils voient leur raison d'être dénaturée et leur existence menacée.

Trop bureaucratique, trop centralisé, trop catastrophiste... Les critiques pleuvent sur le ministère d'Olivier Véran, accusé d'avoir géré l'épidémie en vase clos. Et, faute de corriger ses erreurs, cette lourde administration pourrait trébucher pour la deuxième fois.

L'endettement apparaît comme un remède à la gestion de la crise économique liée à la pandémie de Covid-19, en 2020. Mais le gouvernement français doit travailler sur le rééquilibrage des finances publiques à moyen terme. Il faut rationaliser les dépenses courantes et en accroître l’efficience, comme le rappel le Fonds Monétaire International (FMI). Sous peine d'un risque de bulle sociale. Décryptage. Pas de chiffres.

L'écrivain revient sur cette année pas comme les autres, entre l'angoisse collective du confinement et le succès fracassant de "Yoga", le livre événement de la rentrée dans lequel il affronte ses "démons" et nous parle des nôtres.

Les résultats positifs annoncés par deux laboratoires laissent espérer une protection efficace contre le virus. Mais de nombreuses questions restent en suspens. Sommaire. Vaccin anti-Covid : une éclaircie, enfin ! Les coulisses d'une bataille planétaire. « Il faudra de trois à six mois pour vacciner les Français prioritaires ». L'obligation vaccinale, un débat brûlant... et prématuré. Pékin et la « diplomatie du vaccin ».