Avec "Au nom du père", le scénariste danois, créateur de "Borgen", signe une série sur la religion et prouve qu'il n'a pas froid aux yeux.

Alors que leurs recettes proviennent à 40% de fonds publics, les Ehpad - ou maisons de retraite -privés affichent des taux de prof?t extrêmement élevés. Enquête sur un secteur obsedé par sa rentabilité plutôt que par le bien-être de résidents vulnérables. Sommaire. Le business de la dépendance. Bien choisir son ehpad. La famille d'accueil, une bonne alternative. Le modèle danois.

Copenhague est l'une des villes les plus développées au monde en matière cyclable. 49 % des déplacements quotidiens s'y effectuent de cette manière en 2018, alors que la capitale danoise ne visait les 50 % qu'à l'horizon 2025. En France, ce taux atteint au maximum 16 % dans les villes moteurs de ce mode de déplacement. Pour parvenir à un tel résultat, Copenhague s'est redessinée afin de rendre la route plus sûre et plus pratique.

C'est une singulière destinée que celle du peintre danois Vilhelm Hammershoi. Né à Copenhague en 1864, il commence à étudier le dessin à l'âge de huit ans et consacre par la suite toute sa vie à la peinture. Il visite plusieurs pays d'Europe et leurs musées, expose parfois à l'étranger, mais reste profondément insulaire, comme s 'il avait résolu de se tenir à l'écart des courants artistiques son temps et de suivre sa propre voie en demeurant imperméable aux oeuvres novatrices de ses contemporains.

Après avoir signé les trois saisons de la série féministe et politique "Borgen, une femme au pouvoir" (2010 2013), le scénariste Adam Price s'attaque à une thématique masculine et religieuse avec "Au nom du père", série diffusée sur Arte en juin 2020 et visible en VOD et DVD. Alors que la première est devenue emblématique et qu'une suite - inattendue - va être diffusée sur Netflix, la deuxième se révèle encore plus captivante. Est-ce parce qu'elle s'attaque à la question inflammable de la religion et aux ressorts de la croyance intime ? Est-ce parce qu'elle en explore, ici, le côté masculin ?

L'éclat de la peinture danoise des années 1800-1860 rayonne pour la première fois depuis trente-cinq ans dans une grande exposition parisienne, au Petit Palais. Ou comment, dans des années de misère et de crise, un pays vit l'éclosion d'un art singulier, miracle de poésie et de simplicité.

L'architecte et designer danois a popularisé après guerre un mobilier naturel beau et fonctionnel. Au point de devenir la coqueluche des mordus de design et de style de vie nordique.