Une blonde, une brune, une scène sous la douche... Le réalisateur américain Brian De Palma renoue avec les obsessions hitchcockiennes qui nourrissaient ses thrillers dans les années 1980. Avec ″Passion″, duel de femmes à la sensualité violente, il signe, à 72 ans, l'un de ses plus beaux films.

Avec son image d'une définition stupéfiante, le Blu-ray de "Body Double" nous donne l'impression d'être directement téleporté au coeur des années 80. Brian de Palma y livre sa vision personnelle de "Sueurs froides", explicite et décomplexée.

Le "director's cut" de "L'Esprit de Caïn" n'est pas l'oeuvre de Brian De Palma. Cette version a été réalisée de A à Z par un inconnu hollandais qui a ensuite été adoubé par le cinéaste en personne. Comment un tel miracle est-il possible ? Réponse en direct du royaume des fan edit.

Vingt ans après sa naissance, Tony Montana, campé par Al Pacino pour le "Scarface" de De Palma, a toujours sa cicatrice sur le visage, mais il a presque changé sa couleur de peau. Sans le vouloir, l'acteur a modelé l'imaginaire du gangsta-rap.

Plus fou et singulier que jamais, Brian De Palma livre un pur objet conceptuel, sans se soucier de vraisemblance narrative.

L'Europe, l'Amérique. Partout où on regarde, partout on donne à voir. En Amérique et en Espagne ces images qui nous regardent.

Dix ans après Scarface, Brian De Palma revient chasser sur les terres du film de gansters avec Carlito's way...