Pourquoi Pékin a fait de Paris son bouc-émissaire ?

Le philosophe français s'est impliqué pour une intervention armée en Libye, quand les pouvoirs officiels piétinaient.

Coup de pouce ? Cadeau empoisonné ? Mérité ? Immérité ? Le prix Nobel de la paix accordé au président américain suscite de très vives réactions à travers le monde. Si certains y voient la consécration d'une nouvelle vision de la politique internationale fondée sur le dialogue, d'autres estiment que les bonnes intentions ne suffisent pas à justifier une telle récompense.

Des milliers d'étrangers croupissent dans les geôles indiennes. Si les pays européens aident généralement leurs ressortissants, les autres préfèrent détourner le regard.

Syrie. La France a des ambitions diplomatiques. Mais ses moyens militaires sont limités. Inventaire.

Fini, le profil bas de ses prédécesseurs ! En visite officielle aux Etats-Unis, le président chinois multiplie les initiatives diplomatiques sur tous les continents. Cette montée en puissance, qui vise à défendre les intérêts de Pékin à une échelle désormais planétaire, n'est pas sans créer des tensions.

Malgré ses limites et ses déconvenues, la politique extérieure de la France suffit-elle à expliquer que le pays devienne la cible de l'hyperterrorisme de Daech ? Décryptage d'une partie diplomatique aux allures de piège.

L'urgence sécuritaire, l'amicale médiation de certains socialistes et la collaboration de deux ministres de la Justice que tout oppose auront permis à Rabat et Paris de se réconcilier après un an de brouille diplomatique. Ouf...

Pour circonvenir ses détracteurs, obtenir un siège dans une organisation internationale ou s'attirer les bonnes grâces de la presse, la diplomatie saoudienne sort systématiquement le carnet de chèques. L'organisation de Julian Assange l'a prise la main dans le sac.

Représentante de la Palestine pendant un quart de siècle, elle a tiré sa révérence au début de l'année 2015. Mais entend poursuivre le combat par d'autres moyens.

S'il ne met pas la fin à la guerre civile, l'accord de Skhirat offre une feuille de route pour relancer la transition politique. Un pas encourageant mais hypothéqué par le boycott des radicaux.

Si les négociations entre les autorités de Tobrouk et de Tripoli ont échoué, la responsabilité en incombe en partie à la communauté internationale, qui a multiplié les maladresses.