Serait-il préférable de respecter des règles arbitraires ou des interdictions familiales intangibles instituant une vie de famille cadrée et reposante ou bien de respecter les limites subjectives de chacun en fonction des circonstances ?

S'il est un domaine où nous sommes sûrs qu'il est justifié de mettre des limites, c'est bien celui de la sécurité. Nous ne voulons pas que notre enfant se fasse mal, et nous sommes persuadés que notre devoir de parent consiste à l'en empêcher. Cela semble si évident. Et pourtant...

La popularité grandissante de la parentalité positive faire que de plus en plus d'ouvrages s'en réclament avec une vision très traditionelle de l'éducation, excluant seulement les coups et les cris, le processus d'obéissance n'étant nullement remis en question. En voici un exemple avec la méthode 1, 2, 3.

Maud Alejandro est membre du Haut Conseil à l'enfance, mère, militante au sein de plusieurs associations. Son engagement a commencé avec son adhésion à l'Observatoire de la violence éducative ordinaire (OVEO) où elle a mené en première ligne un combat efficace pour la promulgation de la loi dite "contre la fessée".

Le philosophe à succès a conduit pendant un an des ateliers de méditation et de philosophie auprès d'enfants d'origines très diverses. Une expérience décisive et capable, selon lui, de changer le monde.