Investisseur activiste, l'homme qui a inspiré à Oliver Stone le personnage de Gordon Gekko sévit encore.

Ils oeuvrent actuellement chez Vivarte, C&A ou Sinéquanone pour éviter la fermeture de la société et sauver ce qui peut encore l'être. Détestés par les salariés car ils taillent dans .les coûts, eux se présentent comme des urgentistes. Rencontres.

Veillée funèbre : la société Nyrstar, fleuron industriel belge en son temps, pourrait être dissoute le mois prochain. Veillée d'armes : la guerre n'est cependant pas finie entre le groupe suisse Trafigura, qui a repris les actifs, et les anciens actionnaires.

Pendant la crise sanitaire, un moratoire temporaire protégeait les entreprises contre une procédure de faillite. Cette mesure a entre-temps expiré. Rappel des possibilités dont disposent encore malgré tout les entreprises en difficulté.

Compass, Sodexo. Les annonces de licenciements s'accumulent dans le secteur du "catering". L'essor du télétravail et des cours à distance forcent ces géants à anticiper une évolution majeure de leur "business model".

Fondée en 1947, la mythique agence de presse est à la peine. Plombée par des dettes à répétition, la coopérative s'est ouverte il y a trois ans aux capitaux extérieurs pour la première fois de son histoire, dans l'espoir de sortir de la crise. Pour de bon ?

Dépassement des devis, manque de rentabilité, retards dans la mise en exploitation, enjeux politiques... Au XIXe siècle comme au XXe siècle, les petits épargnants auxquels on avait laissé entrevoir des profits mirifiques ont bu la tasse.

Quatre année après son arrivée au Clu Med, Philippe Bourguignon devra annoncer des pertes. Difficile de remettre à flot le mythe préféré des vacanciers.

La branche automobile de Fiat traverse une crise qui pourrait la précipiter dans les bras de General Motors, ou lui être fatale.

La situation de la deuxième compagnie aérienne française se dégrade. Le gouvernement ne croit guère en son mystérieux sauveteur néerlandais, et les méthodes de son patron Jean-Charles Corbet sont de plus en plus contestées.

Depuis quinze ans, il y ont tous cru à ce "deuxième pôle aérien" français qui devait concurrencer Air France. Mais jamais personne n'est arrivé à y gagner un centime : ni British Airways, ni Swissair, ni Corbet... le rideau est tombé sur des avions cloués au sol.