Eclairage, début 2012, sur l'équation risque/rendement, en France et dans l'Union européenne, des OPCVM (Organismes de placements collectifs en valeurs mobilières) monétaires pendant la crise économique de 2007. Une catégorie de produit d'investissement accessible à un large public permettant de détenir une fraction d'un portefeuille de valeurs mobilières géré par une société de gestion de portefeuille.

Analyse, en mars 2012, des raisons du désintéressement des Français pour les placements en Bourse. En 1993, pour remédier au manque d'engouement des particuliers pour ce mode de placement, le gouvernement a mis en place le Plan d'épargne en actions (PEA), procurant un certain nombre d'avantages fiscaux. Mais après une décennie d'agitation sur les marchés, le désamour a repris le dessus. Pourtant, les faibles valorisations semblent propices aux placements judicieux, et le PEA, qui a vu ses avantages élargis, plus que jamais pertinent.

Décryptage, en mars 2012, de l'engouement croissant des Français pour les placements en Bourse, alors que l'accès aux marchés financiers est de plus en plus facile pour les particuliers, qui disposent désormais des mêmes outils que les professionnels depuis l'avènement d'Internet. Une aubaine, car la gestion directe est moins onéreuse que la gestion déléguée. Mais mieux vaut être bien formé, disponible et réactif pour éviter les pièges d'une bourse volatile. En cas de manque de temps ou de compétences, la gestion déléguée conserve son intérêt.

Eclairage, en mars 2012, sur la faible représentativité des fonds ISR (investissement socialement responsable) qui détiennent moins de 2% des encours financiers dans le monde. En cause : le faible intérêt des particuliers pour ces fonds (alors qu'ils étaient la première cible de ces produits) et leur difficulté à convaincre en termes de performance. Toutefois, leur influence dépasse leur poids économique.

Engouement croissant des investisseurs français pour les placements forestiers, plus stables que les produits traditionnels à la rentabilité volatile, dans un contexte de crise financière. Option encore confidentielle, la forêt compte malgré tout de plus en plus d'amateurs. S'il n'offre qu'un rendement limité, cet actif permet de bénéficier de nombreux avantages fiscaux. Mais un tel placement suppose d'importantes contraintes en matière de gestion administrative et matérielle. Explications et détails avec commentaires d'experts. Peu de chiffres.

Regain d'intérêt, en France, en 2012, pour les SCPI (Société civile de placement immobilier) qui était autrefois une classe d'actif uniquement connue des initiés. Une redécouverte qui s'explique essentiellement par le fait que la crise a fait rechercher à l'ensemble des spécialistes de l'épargne de nouveaux produits pour essayer de trouver une solution aux besoins de leurs clients.

Redressement en France, depuis la fin de l'année 2014, du marché du trading pour les particuliers. L'appétit du risque chez les traders amateurs a été ravivé par le regain de volatilité observé sur les actions, les devises et les matières premières. Pour autant, la prudence, la rigueur et l'expertise restent plus que jamais les clefs d'un trade gagnant. Selon l'AMF (Autorité des marchés financiers), sur 4 ans et quelque 18 000 traders particuliers, le résultat moyen est une perte de plus de 10 000 euros par client, et le résultat médian, une perte de 1843 euros.

Retour, fin 2015, sur l'émergence d'une nouvelle tendance à l'internationalisation dans la gestion de portefeuille des épargnants français. Un phénomène déjà bien pris en main par les courtiers en ligne tandis que les banques et courtiers traditionnels tentent de combler leur retard. Mais aucun de ces acteurs ne néglige son rôle en matière d'information sur les risques de change.

Le changement durable de l'environnement économique implique de modifier son approche et de gérer autrement. Le point sur : les livrets bancaires, l'immobilier, l'assurance-vie, les obligations, les SCPI-OPCI, les actions, la bourse, les crédits immobiliers.

Intérêt croissant des Français pour les différents plans d'épargne retraite, conçus pour permettre aux salariés de bénéficier d'un complément de revenu une fois leur vie professionnelle achevée. Une situation qui s'explique par les réformes successives des régimes de retraite obligatoire qui inquiètent les Français concernant le niveau de leur future retraite.

Or, immobilier, assurance-vie... Les bonnes pistes.