Une brillante biographie où sont éclairées les multiples facettes d'un Aragon énigmatique, tour à tour poète amoureux, militant engagé...

L'apocalypse annoncée est déjà en cours : pour preuve les disparitions qui touchent le narrateur.

Après sa brillante bio sur Aragon, Philippe Forest signe un abécédaire passionnant autour de Rimbaud.

Quand Philippe Forest se fait le prophète d'un monde perdu, c'est « Crue », le roman d'un débordement fluvial, et d'un homme qui cherche à échapper à la noyade.

Jacques Henric interroge Pierre Jourde. Au coeur de la discussion : la critique littéraire, l'autofiction, l'état des lettres françaises.

Philippe Forest se prête à l'exercice de l'abécédaire déployant ses thèmes de prédilection en convoquant Rimbaud, Bataille, Aragon ou T. S. Eliot.

Philippe Forest ourdit un récit à l'atmosphère suspendue avec un narrateur témoin de disparitions étranges. Une subtile réflexion sur l'idée de perte et ce que peut la fiction.

Philippe Forest se souvient que l'homme n'est pas une équation : il ne cherche pas à résoudre l'énigme d'une vie. Il en montre la force, la formidable énergie et si cette biographie d'un très grand écrivain du siècle dernier tient du roman, c'est, pour le dire en mots aragoniens, qu'elle est une "machine inventée pour l'appréhension du réel dans sa complexité".

Malgré son titre, le dernier roman de Philippe Forest n'est pas un traité de physique quantique - sujet que le narrateur, de son propre aveu, est loin de maîtriser. C'est plutôt une déambulation aux accents tantôt poétiques, tantôt métaphysiques, qui glisse de questionnements en considérations sur la réalité et la fiction.