Le président s'est livré à un exercice de contrition sans précédent devant les caméras de télévision, le 24 avril 2008. Le prix à payer pour remonter dans les sondages ?

Il a changé sans tout changer. Ni tout à fait un autre, ni tout à fait le même. Après un an à l'Elysée et quelques avanies sondagières, Nicolas Sarkozy corrige le tir mais ne renonce à rien.

Les grognes se multiplient, mais le punch du président est intact. Il est vrai que, en face, l'opposition n'est guère menaçante.

La monarchie, qui mit un siècle à mourir, a laissé dans notre façon d'être quelques traces indélébiles qui surprennent les observateurs étrangers.

Polémiques sur le RSA, tensions avec Fillon, questions sur l'UMP, craintes sociales... Heureusement qu'il n'y a pas d'opposition !

Le dossier de Grand Paris brouille les clivages politiques : Delanoë est d'accord avec Sarkozy, Jean-Paul Huchon s'entend avec Christian Blanc... Débats animés en perspective

Heure après heure, de la faillite de la banque Lehman Brothers au sommet de l'Eurogroupe, comment Sarkozy a géré le tsunami financier

Face à la tourmente financière, Nicolas Sarkozy est le vrai patron. Mais, derrière lui, une poignée d'hommes gèrent la crise au quotidien.

La nouvelle donne institutionnelle change le rapport de forces. Dans ce contexte, le chef de l'Etat et le président du groupe UMP à l'Assemblée ont décidé une trêve. Dans l'intérêt bien compris de l'un et de l'autre pour l'instant

Vingt-deux ans de complicité. Aujourd'hui, l'élève a dépassé le maître. Sans l'oublier

La moitié des Français approuve le volontarisme présidentiel

Face aux difficultés, le président applique sa vieille méthode : l'action