En 82 chapitres, Pierre lepape explore les 82 années et le complexe message d'un écrivain à la fois païen et mystique, ami déclaré du genre humain.

Publié intégralement pour la première fois, son "Journal" nous révèle un écrivain plus proche de celui qu'il fut. Et qui demeure notre contemporain, définitivement capital.

Monumentale et majeure, la correspondance entre André Gide et Maria van Rysselberghe.

Enfin réunis en un volume, voici tous les carnets de route d'André Gide. Du Tchad à l'URSS, de l'Egypte à l'Algérie, son regard est irremplaçablement... gidien.

Jean Schlumberger fut pour André Gide beaucoup plus qu'un confident ou un faire-valoir. Les lettres qu'ils échangent sont un gracieux tricotage de mots et d'idées qui éclaire l'histoire littéraire et l'histoire tout court.

C'est l'auteur des "Nourritures terrestres" qui est à l'origine de l'engouement des Français pour celui de "Zarathoustra". Histoire d'une passion.

Qui est Jacques Schiffrin ? On le sait trop peu : le créateur, en 1931, de la "Bibliothèque reliée de la Pléiade", laquelle allait devenir, en 1933, grâce aux efforts de Gide auprès de Gaston Gallimard, une collection de la NRF sous la direction de Jacques Schiffrin.

Un commentaire précis du parcours "économique" de Ménalque, le personnage principal des "Nourritures terrestres" d'André Gide, éclaire les soubassements de l'économie et met l'accent sur la substitution d'une conception de la valeur fondée sur la production à une théorie de la valeur organisée autour du caractère infini du désir.

Roger Kempf lui écrivit depuis son collège de Bordeaux ; Pierre Herbart venait de Dunkerque. Aux deux garçons, l'auteur de "Si le grain ne meurt" réserva le meilleur accueil.

En parcourant le monde, l'auteur de "Si le grain ne meurt", dont on célèbre le cinquantenaire de la disparition et dont la Pléiade rassemble les textes de voyages, n'a eu d'autre principe que de toujours dire la vérité, fût-elle triste et dangereuse.