Dans son troisième livre, le joker de Sarkozy pour Matignon fait entendre une voix ambitieuse.

Tête de liste en Haute-Normandie et arme de Sarkozy contre Villepin.

Le quinquennat de Nicolas Sarkozy n'était pas fait pour eux. Depuis l'automne 2008, François Baroin, Jean-François Copé, Christian Jacob et Bruno Le Maire déjeunent ensemble. Cette bande veut désormais compter.

La droite a perdu mais pas pour longtemps. Les rénovateurs en sont sûrs et feront tout pour gagner sans le Front national.

Dans « Jours de pouvoir », l'ex-ministre revient sur son passage au gouvernement. Piquant.

Pour se construire un avenir, il cherche à faire oublier son passé. Aujourd'hui, mieux vaut endosser le costume de défroqué que celui de surdiplômé. L'essentiel, pour le troisième homme de la droite, est d'incarner le renouveau. Attention, le futur candidat à la primaire n'est pas celui que l'on croit...

L'outsider de la primaire des Républicains publie « Ne vous résignez pas ! » (Albin Michel), un réquisitoire contre les responsables du déclin français. Il n'épargne pas son camp.

Elysée, islam, Europe, Houellebecq, YouTube... Pour ce quatrième entretien avec les candidats à la primaire, échange tonique avec Bruno Le Maire.

L'un cultive sa voix, l'autre les voix. Pour "L'Express", face-à-face entre une bête de scène et un animal politique, que rapprochent l'amour de la musique et le goût de conquérir les salles. Réunis pour la première fois, ils tombent les masques.

Jusqu'à présent, il n'était qu'un slogan : « Le renouveau, c'est Bruno. » Le Maire dévoile maintenant son contrat présidentiel. Pour venir troubler le match entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy. Sommaire. Analyse de Christophe Barbier, interview du candidat Bruno Le Maire, décryptage de son programme.

C'est tout juste s'il n'a pas choisi sa cravate pour son premier jour à l'Elysée. Pas de doute, il en est sûr, le prochain président de la République, c'est lui. D'ailleurs, il est capable de détailler son futur quinquennat minute par minute. Un aplomb désarmant qui fait dire à ses adversaires que Bruno Le Maire a pris le melon.

L'homme politique livre une réflexion éblouissante sur la beauté et le pouvoir.