Guillaume Poitrinal, spécialiste de la construction en bois, livre au "Point" sa vision des espaces professionnels.

On peut exercer en psychiatrie et être un excellent soignant, quel que soit le diplôme. On peut être aguerri à la clinique psychiatrique ou à la psychopathologie, connaître les prodromes d'une phase aiguë et savoir identifier les symptômes qui aident au diagnostic. On peut être avenant avec les patients et à l'écoute. individuellement, il est en effet possible d'être très bon, mais il n'y a pas de soin bénéfique pour le patient s'il n'est pas partagé, c'est-à-dire discuté et construit au sein d'un collectif...

Un collègue qui nous plaît, un séminaire loin de la maison, un dîner professionnel trop arrosé... Pas toujours facile de résister à la tentation. Peut-on se permettre de franchir le pas ? Les réponses de Juliette Allais.

C'est la dernière trouvaille, après l'open space. Non contents de réduire leur "empreinte immobilière", les grands groupes voient dans le bureau partagé la clé pour repenser les manières de travailler. A l'ère de la flexibilité et de la mobilité, cette organisation du travail se glisse à merveille dans la novlangue managériale. Mais est-elle aussi bien vécue qu'elle est vendue ?

De plus en plus d’entreprises, parmi celles qui proposent le télétravail, décident de repenser l’aménagement de leurs espaces de travail. Les raisons ? Réduire le nombre de mètres carrés occupés pour faire des économies, s’adapter aux nouvelles manières de travailler et créer notamment des espaces de collaboration pour les salariés. Cette réflexion sur la transformation de l’espace de travail doit se mener en coconstruction avec les employés, insistent les aménageurs, dont certains proposent des équipes de conduite du changement pour prendre en charge les projets de A à Z. Pas de chiffres.

Le monde de l'entreprise et celui du livre ont des choses à faire ensemble. Rencontre avec deux décideuses qui l'ont bien compris.

Le PDG tout-puissant, la prétendue semaine de 35 heures, la méfiance généralisée, les longues pauses déjeuner… Le correspondant à Paris d’un journal britannique fait le tour des spécificités du monde du travail français.