Après Truffaut, Lynch, Chaplin, Netflix poursuit son intense session de rattrapage cinéphile avec une rétro de neuf films de Jacques Demy. Dont le sublimissime "Une chambre en ville".

Dans la foulée des cartons 100% africains "Queen Sono" et "Blood and Water", le géant du streaming prévoit de s'implanter davantage sur le continent, ce qui pourrait donner un coup de fouet à l'industrie cinématographique locale.

Le succès du nouveau géant américain de l'audiovisuel Netflix s'explique notamment par sa gestion interne "à la limite du chaos". Une grande liberté est accordée aux employés, tant qu'ils agissent pour l'intérêt de Netflix et donnent le meilleur. Reed Hastings, cofondateur et directeur du groupe, est généralement encensé pour ce mode de fonctionnement si particulier, qui a fait ses preuves pour l'instant. Toutefois, cette culture d'entreprise pourra-t-elle résister encore longtemps à mesure que Netflix poursuit sa croissance ?

Alors que le "true crime" commençait à ressembler à un rayon de vidéoclub, "L'Affaire Watts" réinvente le genre et scotche 50 millions de spectateurs devant leurs écrans. Le grand film de trouille de l'année est un documentaire.

Avec Star, sa nouvelle section dédiée aux adultes, Disney+ casse son image de plateforme jeune publics et muscle ses arguments pour challenger le géant Netflix. Mais la guerre du streaming vidéo existe-t-elle vraiment ? Sommaire. Une étoile est née. Netflix, fabrique de jeunes cinéphiles ?

Jamais terminé, le dernier film du réalisateur américain Orson Welles, "The Other Side of the Wind", va être repris par le géant américain de la vidéo à la demande Netflix en 2018. Ce dernier a investi cinq millions de dollars pour finir le film puis le diffuser sur sous son nom. C'est la première fois que le groupe investit dans un film de patrimoine, et il ne le fait pas par hasard.

Créée en 1997, la plateforme californienne a engrangé 16 milliards de dollars l’an passé et compte plus de 130 millions d’abonnés. Producteur, Netflix est devenu un acteur dominant de l’audiovisuel. Au risque de régner sur la télévision, le cinéma et notre imaginaire ? Portrait d’un géant vorace. Sommaire. Plan de bataille: vider les salles, remplir les canapés. A la recherche d’un public mondialisé. Catalogue calibré. A l’assaut des films. Netflix, cannibale lecteur. Economie de l’attention. C’est mon choix... Politique. Les Obama, saison 1. Bambinat. Baby-sitter numérique.

Alors que se profile le déferlement des plateformes de vidéos à la demande, Netflix devient le meilleur ami de l'audiovisuel français. Un mariage de raison.

La plateforme de streaming, chahutée en Bourse depuis un an, tente de dupliquer dans le vélo le succès de sa série dédiée à la F1.

A cette question qui fâche, des personnalités de l'industrie du cinéma tentent de répondre comme Claude Lelouch, les frères Coen, Nicolas Lecaussin ou Marin Karmitz. Verbatim.

Avec 139 millions d'abonnés dans 190 pays, Netflix est devenu leader mondial sans conteste de la vidéo à la demande en 2019. La société américaine rachète massivement des droits de diffusion, principalement de séries, depuis la fin des années 2000, mais s'est aussi lancée dans la production depuis 2011 et possède son propre studio depuis 2016. Cela lui a permis de se diversifier et de proposer à son audience des films, de quoi inquiéter le petit monde du cinéma.

Si le géant américain du streaming lance série sur série à grand renfort de com, il peine encore à séduire la critique.