Pourquoi répétons-nous toujours les mêmes gestes au fil des années, comme le fait d'ouvrir son journal au petit déjeuner ? A cause de neurones qui, dans notre cerveau, renforcent leurs connexions, jour après jour. De quoi les modifier, potentiellement, dans l'avenir.

Potentiels d'action, vésicules synaptiques et neurotransmetteurs, en images.

Microcéphalies, syndrome de Guillain Barré... Les chercheurs ont récemment précisé comment ce virus attaque le système nerveux.

Et si l'équilibre de la tête passait par celui de notre alimentation ? C'est ce qu'ont découvert les chercheurs spécialistes de la psychonutrition, ou de la psychiatrie nutrionnelle. La façon dont nos neurones se développent dépendrait de certains aliments qui, bien dosés, protégeraient contre l'anxiété, la dépression et le déclin cérébral. En retour, un cerveau en bonne santé retrouverait le sens de la satiété et régulerait notre poids ! Sommaire. Bien nourrir son cerveau. Il faut retrouver le sens de la satiété. Libéré(e)s des régimes.

S'ils sont à ce point entrés dans notre langage courant, c'est que les nerfs jouent un rôle essentiel dans notre vie. Mais ils n'agissent pas seuls. Avec le cerveau et la moelle épinière, ils forment le système nerveux dont le rôle consiste à organiser les stimuli de notre milieu extérieur (et intérieur) et organiser une réponse adaptée.

De nouveaux neurones apparaissent chaque jour dans le cerveau adulte. Ces cellules participent à l'apprentissage de tâches complexes : plus elles sont sollicitées, plus elles perdurent

Les neurones sont le siège de mouvements de particules chargées, qui créent des microcourants responsables des ondes électriques enregistrées à la surface du crâne. La fréquence de ces ondes reflète l'état de vigilance et de conscience.

Le sommeil doit avoir une fonction vitale, car il existe chez tous les animaux. Alors qu'on considère classiquement qu'il renforce les connexions neuronales codant les souvenirs, il pourrait en réalité les affaiblir. Les connexions impliquées dans les souvenirs importants seraient moins affaiblies que les autres. De cette façon, le sommeil préserverait les circuits cérébraux d'une saturation par les expériences quotidiennes et d'une consommation excessive d'énergie.

L'idée d'une personne ou d'un objet connu serait codée par un petit ensemble de neurones, qui s'activeraient spécifiquement.

Un gène intervenant dans la différenciation des cellules nerveuse bloque la prolifération de cellules tumorales.