Pour le recrutement, l'évaluation, la formation, le salarié devient une "data" comme une autre, qu'on peut passer à la moulinette des logiciels. Plongée dans la boite à outils des entreprises Par

Conséquence de la généralisation du télétravail et de la digitalisation de nos vies, véritable tendance de fond, les métiers du numérique gardent le cap. Secteur le plus porteur avant la pandémie, il est aussi celui qui offre le plus de possibilités d'embauches et de formations pendant la crise. Pour conclure l'article, "01Net" propose un "Top 20 des métiers du numérique".

Pour rester compétitives dans la jungle de l'enseignement supérieur mondial, les institutions du secteur balancent entre fusion et hyperspécialisation. Sommaire. Grandes écoles de management : ce n'est pas la taille qui compte. Palmarès : classement des diplômes ayant grade de master ; classement des bachelors internationationaux. Méthodologie : comment lire les tableaux. Cuisine. Les toqués des écoles. Gestion. Quand les millenials prennent le pouvoir. Accélérateur. Immersion à l'étranger. Diversité. Pourquoi ça coince ? Expertise. Et si vous passiez votre certif' ? Sciences Po.

En plein boom, le secteur aérien européen manque de pilotes. Une aubaine pour les écoles d'aviation privées, qui voient affiuer les candidats.

Le spécialiste de la formation aux métiers du numérique se distingue par sa mixité sociale et ses partenariats avec les géants de la tech.

Comment LVMH, premier recruteur privé de l'Hexagone, s'y prend-il pour attirer les talents ? La DRH Chantal Gaemperle livre des pistes.

Tandis que 2000 postes de secrétaire de mairie sont actuellement à pourvoir, Sylvie Gibel se bat pour faire revaloriser sa profession.

Peu à peu, ce secteur parvient à se défaire de son étiquette de métiers de dur labeur. Et trouve un second souille chez les cadres en reconversion.

Analyser des images, catégoriser des produits, enregistrer des phrases... Les « micro-travailleurs », chevilles ouvrières de l'intelligence artificielle, exécutent en ligne des tâches courtes (rapportant entre quelques centimes et quelques euros) pour des clients qu'ils ne connaissent généralement pas, via des plateformes spécialisées. Selon l'étude DiPLab, ils seraient plus de 300 000 en France.