Même à l'heure de la parentalité positive, la menace donne des résultats. Mais tout dépend du type de comportement que l'on souhaite favoriser... ou décourager!

A 14 ans, Marc-Antoine décide de ne plus aller au collège. Impuissants, ses parents l'envoient chez un psychologue, qui comprend très vite que l'ado est le roi à la maison. Voire un despote qui n'hésite pas à employer la violence physique pour obtenir ce qu'il veut.

Quel parent êtes-vous ? Etes-vous en couple, avec une femme ou un homme, seul(e), car célibataire par choix ou séparé(e) par exemple, bien accompagné(e) par le père ou la mère d'autres enfants que les vôtres... ? Peu importe votre situation, vous êtes un "coparent" ! Avec pour objectif de subvenir aux besoins de vos petits, de les éduquer et de leur apporter toute votre affection, afin qu'ils se développent correctement. Que signifie coparentalité ? Il n'y a pas de recette miracle au bonheur en famille...

Pourquoi s’intéresser ici aux 3 000 premiers jours – jusqu’à environ 7 ans –, et non aux 1 000 – jusqu’à 2 ans –, comme on en entend si souvent parler ? Parce que le développement de l’enfant ne s’arrête évidemment pas à 2 ans... Ni à 7, d’ailleurs ! Il se poursuit bien au-delà.

Les comportements agressifs à l’âge adulte ont souvent leurs racines dans l’enfance. Loin d’être déterminés durant le développement de l’enfant, ils pourraient être pris en charge par des mesures préventives.

Les bébés nés pendant la pandémie ont-ils de moins bonnes aptitudes cognitives et motrices que ceux nés avant ? C'est ce que laissent supposer de premiers rapports épidémiologiques aux Etats-Unis, qui pointent une perturbation des liens sociaux. Mais les résultats doivent être confirmés et ces altérations ne seraient pas irréversibles.

On les dit agités, turbulents, opposants, ou même insupportables : parce qu’ils mettent les adultes en échec et compliquent la vie familiale et scolaire, ces enfants suscitent la préoccupation des parents et des éducateurs. De quoi ces attitudes sont-elles le signe ? Quelles réponses éducatives appellent-elles ? Sommaire. Enfants difficiles, introduction. De quoi parle-t-on ? Société. La fabrique de l'enfant dangereux. Education. Outiller les parents. Violences familiales. Quand les parents ont peur. Itep. Accueillir des jeunes au parcours chaotique. Récompense et punition.

Les disputes entre enfants sont fréquentes - et elles ont leur importance. Elles préparent le terrain aux relations sociales plus tard dans la vie. Ce que les petits apprennent à ces occasions dépend avant tout du comportement de leurs parents.

Si vous voulez le bonheur de votre enfant, « fichez-lui la paix ». C’est en substance ce que nous disent les psychologues. Mais on a parfois la tentation de surveiller qu’il ne fait pas de mauvaises rencontres, ne surfe pas sur des sites louches ou ne consomme pas des substances dangereuses. Problème : les expériences que peut faire un jeune aujourd’hui sont infinies. Il faut alors exercer une vigilance de tous les instants... De même, les possibilités d’études se sont démultipliées. Il faut donc donner le maximum de chances à son enfant, et cela impose aux parents une attention décuplée.

Les narcissiques sont écartelés entre le mépris de soi et la conviction d’être supérieurs aux autres. Mais il existe aussi un narcissisme fonctionnel, qui peut nous aider à vivre et même à réussir. C’est pour mieux repérer la frontière entre les deux que ce dossier vous livre des clés. Sommaire. Narcissisme : entre grandeur et fragilité. Les racines du narcissisme. Sabrina Krauss : « Le mot narcissique ne devrait pas être une injure ».

La plupart des parents souhaiteraient aimer leurs enfants de la même manière. Mais, dans les faits, ils en privilégient souvent un par rapport aux autres. Avec des conséquences souvent négatives sur la fratrie, que certaines précautions peuvent limiter.