Claire Revenu est la directrice générale des Jeux olympiques et paralympiques chez Coca-Cola, partenaire historique de cet événement mondial. Un job de coordination entre les équipes de Coca-Cola France et celles de son embouteilleur, Coca-Cola Europacific Partners France. Et une mission qui devra laisser un héritage. Fait partie d'un cahier spécial Boissons.

Auteur de débuts réussis en NBA, le jeune joueur français des San Antonio Spurs se montre sélectif dans ses choix de contrats publicitaires. Pour ce média économique américain, il pourrait incarner un nouveau modèle de superstar du sport.

L'expression « pas en mon nom » (« not in my name » en anglais) est utilisée par tous ceux qui veulent se désolidariser de décisions jugées inopportunes, par exemple, l'organisation de la coupe du monde de football au Qatar. Beaucoup de personnalités se sont publiquement engagées à ne pas regarder la compétition. une façon pour elles de dénoncer une organisation peu soucieuse d'écologie et de droits humains.

En poussant la compagnie Total à se retirer de la course au sponsoring pour les jeux Olympiques de 2024, Anne Hidalgo n'a-t-elle fait qu'« un coup de com »,comme l'affirme ici même Benjamin Griveaux ? Ou a-t-elle, au contraire, cherché à éviter un effet de com calamiteux ? En clair, n'a-t-elle pas fait, tout simplement, de la politique ?

Le compte à rebours est lancé : dans moins de six mois, le coup d'envoi des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) de Paris 2024 sera donné, le 126 juillet, à 20h24 précisément ! Pouvoirs publics, entreprises, fédérations sportives Tout le monde se mobilise autour de cet événement exceptionnel. LSA aussi. Cette semaine, LSA a choisi de mettre en lumière les actions de mises en place par les acteurs du commerce pour soutenir les athlètes.

Les centres de préparation aux Jeux, les CPJ, disséminés sur le territoire visent à accueillir des délégations d'athlètes en France en amont des Jeux olympiques de Paris 2024. Les collectivités territoriales qui portent ces CPJ s'activent pour attirer des équipes, à des fins d'attractivité et dans l'idée, surtout, de créer du lien avec la population. Leurs opérations "séduction", qui nécessitent de s'appuyer sur des réseaux, sportifs notamment, répondent à des enjeux techniques, financiers et touristiques. Pas de chiffres.

Les partenaires de la Grande Boucle se renouvellent pour l'édition 2024, qui débutera le 29 juin. L'événement donne l'occasion d'aller à la rencontre des consommateurs, de gagner en capital sympathie et de proposer, en parallèle, des animations en magasin. Quelques données chiffrées.

Sponsoriser les événements sportifs laisse entendre que l'activité physique pourrait « compenser » les effets des sodas. Un message pernicieux.