Ambiance particulière pour cette imminente Coupe du monde de football au Qatar. Par son calendrier, déjà (du 20 novembre au 18 décembre), sans parler des appels au boycott ou de la revendication de certains joueurs, dont Kylian Mbappé, d'être consultés sur les marques auprès desquelles ils apparaissent. Aussi, à moins de deux mois du coup d’envoi, l'enthousiasme n'est, en toute logique, pas encore tout à fait à son comble. Malgré tout, en coulisses, les marques sponsors et/ou partenaires ont déjà bien cadré leurs opérations commerciales et marketing.

Le netball est une discipline proche du basket qui est très populaire en Australie. Et qui l’est plus encore depuis cette histoire qui oppose les vertueuses joueuses de l’équipe nationale à leur sulfureux sponsor.

Les festivités autour de l'arrivée de la torche olympique à Marseille, le 8 mai, auront comme un arrière-goût de Coca-Cola. Parrain officiel du relais de la flamme, le géant américain entretient avec le CIO une idylle qui dure depuis près d'un siècle. Ce partenariat, noué lors des JO d'Amsterdam, en 1928, est devenu si étroit qu'il est désormais difficile de dire qui mène les Jeux. Et en dépit des critiques en matière de santé et de pollution plastique, l'alliance du soda et des anneaux a de beaux jours devant elle.

Paris 2024 doit revoir ses plans, bouleversés par le Covid-19. S'il continue à engranger des signatures de sponsors, le comité d'organisation cherche à resserrer son budget.

A six mois de la cérémonie d'ouverture, "L'Express" a enquêté sur la genèse des JO de 2024 et jusqu'aux derniers points noirs de ce rendez-vous aux enjeux économiques et politiques majeurs. Sommaire. L'histoire secrète des JO de Paris. Sodexo, dans l'assiette des athlètes. Amélie Oudéa-Castéra, VRP des Jeux. Le pataquès des mascottes. Parcours : la flamme de la discorde. Cyberattaques : comment s'y préparer. Ces médaillés qui ne roulent pas sur l'or. Le cyclisme sur piste, fleuron national. Ils racontent leurs Jeux.

A côté des contrats d'image avec les athlètes, ce dispositif permet aux entreprises de limiter leur mise, tout en soignant leur réputation.

Coupe du monde de rugby à XV en septembre, Jeux olympiques de Paris 2024 ou, comme chaque année, le Tour de France… Certaines marques répondent présent lors de ces grands événements, autant pour soutenir et étancher la soif des sportifs que celle des spectateurs ! L’occasion aussi de redéfinir ses valeurs et de se rapprocher de ses consommateurs. Voici quelques exemples. Détails. Données chiffrées.

En sponsorisant la voiture pilotée, conçue et fabriquée par Jean Rondeau, «Le Point» a participé à l'un des exploits qui ont construit la légende de la plus prestigieuse course d'endurance. Sommaire. Quand "Le Point" gagnait les 24 Heures du Mans. Le circuit des héros. Comment suivre la course. A l'heure des pilotes.

L'essor des mobilités douces profite au marché du cycle. En parallèle, le Tour de France reste le rendez-vous incontournable du mois de juillet pour les Français. Sommaire. Les marques roulent pour le Tour de France. Les cycles, un axe de diversification. Dossier. Données chiffrées.

La Coupe du monde, qui se déroule cette année en France, offre des opportunités pour dans la mêlée les marques et les commerçants. Tous comptent capitaliser sur l'événement pour créer de l'animation et du chiffre d'affaires additionnel. Détails. Quelques données chiffrées.