Le divertissement représente le masque d'une consolation sans laquelle l'ordre injuste de la marchandise ne saurait perdurer. Dramaturge et metteur en scène, l'auteur propose la notion de société des spectateurs qui traduit la passivité des peuples sous l'effet consolateur des divertissements. Pour sortir de cette domination il faut refuser de se laisser consoler par le divertissement.

Des réflexions sur la place du son dans le discours philosophique. Elles mettent en lumière l'importance de la voix, du ton ou de l'accent dans l'élaboration et la réception de la pensée des philosophes. ©Electre 2020

L'anthropologue interroge la notion d'intime et ses évolutions dans des sociétés aussi diverses que le Brésil, le Japon et la France. Il invite à explorer les liens de l'intimité avec l'imaginaire, les arts et la politique. ©Electre 2020

L'auteur propose une analyse politique de la notion de peuple par rapport à celle de la multitude, qui renvoie aujourd'hui à une masse inorganisée et dangereuse pour l'exercice du pouvoir. Examine la potentialité subjective que ce concept porte.

Recueil des articles de P. Caussat, universitaire et spécialiste de la linguistique et du langage. Ces textes, qui s'échelonnent des années 1970 à aujourd'hui, témoignent de la vitalité de ses recherches et de la diversité de leur champ d'application : philosophie du langage, phénoménologie, herméneutique, sémiotique, etc. ©Electre 2016

Le philosophe interroge avec malice la figure familière et pourtant méconnue de l'idiot, qui désigne un état et non une nature. Tourné vers son intuition, insensible au rythme des autres, l'idiot cherche à faire évoluer son "moi" sans recherche d'identité. L'auteur nourrit également sa réflexion d'éléments appartenant au politique, à la littérature et à l'art. ©Electre 2017

L'auteur développe le concept d'homosexualité d'un point de vue philosophique et politique. Il présente la pensée de Platon et de Thomas d'Aquin, évoque les questions politiques contemporaines dont elle est l'enjeu. ©Electre 2018

La curiosité sur le monde qui l'entoure et le besoin inextinguible de savoir différencient l'être humain des autres espèces animales. Il conquiert sa liberté en s'émancipant par le travail et la science, et en participant, au besoin, à l'émancipation des êtres humains qu'il côtoie. L'Univers est l'éternelle transformation, sans commencement, ni limite, ni fin. C'est la négation de Dieu.