Maroc. Sanctions royales, crise du Rif, alliance avec les islamistes du PJD, diplomatie parlementaire... Le troisième personnage de l'Etat répond aux questions qui fâchent.

Mohammed VI ordonne l'élaboration d'une autre stratégie visant à mieux valoriser les legs de généreux donateurs en veillant à concilier contraintes religieuses et perspectives d'investissement.

Le 25 novembre 2011, les législatives donnaient la majorité aux islamistes, qui promettaient de changer la façon de gouverner et de réformer le pays. Force est de constater que leur bilan n'est pas brillant. Sommaire. Le PJD est-il soluble dans la démocratie (éditorial). Grandeur et décadence. Immobilisme. Finance 100 % halal. Stratégie, nouveau plan marketing pour l'ONMT. Agence tous risques numérique. Quand le rap passe à la trappe. Pourquoi la cause des femmes patine (tribune).

Société, économie, lutte contre la corruption, cohabitation avec le RNI, relations avec le Palais... Le secrétaire général du PJD dresse le bilan de ses deux années à la tête du gouvernement.

Normalisation avec Israël, Sahara, législatives, crise sanitaire, tensions au sein du PJD... Le chef du gouvernement joue cartes sur table.

Reconnaissant que le modèle de développement du Maroc n’a pas atteint ses objectifs, notamment en matière de création d’emplois, les autorités du pays réfléchissent à une nouvelle stratégie. Une réflexion entamée dans un contexte marqué par l’aggravation des inégalités, par le retard accumulé dans des domaines tels que la santé et par la persistance de la contestation populaire incarnée par le « hirak » du Rif.

La persistance de la contestation populaire dans le nord-est du Maroc et ses revendications de mieux-être social mettent en relief l’échec des programmes de développement économique et des projets d’infrastructure pilotés par la monarchie. Malgré la répression, l’ampleur des manifestations pose la question d’une nouvelle réforme constitutionnelle sur des bases plus ambitieuses qu’en 2011.

Prônant une opposition constructive, le secrétaire général du Parti du progrès et du socialisme (PPS) a adressé une lettre ouverte au chef du gouvernement, qui lui a valu une réponse très froide du parti majoritaire. Pour ce leader de gauche, l'exécutif aurait pourtant intérêt à dialoguer.

Président de la Fédération royale marocaine de football, le ministre du Budget est aussi l'un des membres les plus puissants du gouvernement d'Aziz Akhannouch.

Plus de 2 900 personnes sont mortes lors d'un séisme de magnitude 7 survenu vendredi 8 septembre 2023 au Maroc. Dans la province d'Al-Haouz, au sud-ouest de Marrakech, où se situe l'épicentre, l'aide manque cruellement.

Depuis qu'il s'est séparé de sa femme, Mohammed VI voyage, s'amuse, poste sur Instagram des selfies pris à travers le monde. Mais les Marocains se demandent qui gouverne le royaume...