Guerre tarifaire entre la Chine et les Etats-Unis, contentieux en mer d'Azov... Beaucoup redoutaient un G20 à couteaux tirés. Pourtant, les invités ont su faire abstraction de leurs divisions. En complément, l'article du "South China Morning Post", intitulé "Le plus dur commence".

Avec son inclination affichée pour Donald Trump et des dirigeants ultraconservateurs du monde entier, le prochain gouvernement brésilien assume sans ambages son futur profil diplomatique.

Les pressions de ses nouveaux alliés arabes, avec celles de Washington et de Moscou, ont convaincu le Premier ministre israélien de dire non à une nouvelle guerre de Gaza. Quitte à s'aliéner son propre camp.

Dans la foulée de son annonce du départ des troupes américaines de Syrie, Donald Trump a dit qu’il ordonnerait un désengagement progressif de celles présentes en Afghanistan. Un choix diversement accueilli aux Etats-Unis. "The New York Times" estime qu'il est temps, il s'agit d'une "intervention à perte" quand "The Hill" titre "On va répéter les erreurs du passé".

En élevant le niveau d’exigence américain, Donald Trump a gelé un processus de paix qui semblait pourtant bien engagé. Séoul voit s’envoler les espoirs d’apaisement dans la péninsule. Sommaire. Washington souffle le froid. L'échec de la diplomatie en tête-à-tête.

L'arrivée de la Chine sur la scène mondiale, la révolution islamique d'Iran, la vague conservatrice de Thatcher, les premières élections européennes, les Soviétiques dans le piège afghan, un premier rapport sur le réchauffement climatique, les prémices d'Internet... Tout s'enclenche en 1979 et explique (en partie) notre présent.

Dans son "Requiem pour le monde occidental", Pascal Boniface conteste une vision occidentaliste qu’il juge obsolète et dangereuse. Il plaide pour une autonomie européenne.

Les participants arabes à la conférence de Bahreïn sur le conflit israélo-palestinien ont vilipendé l’Autorité palestinienne, tout en estimant que la paix ne peut être obtenue sans solution politique.

Donald Trump veut-il vraiment aller à l'affrontement militaire avec l'Iran ? Il n'y a, en fait, pas intérêt. D'autant que la République islamique dispose d'un sérieux pouvoir de nuisance grâce à ses nombreux relais à travers le Moyen-Orient qui pourraient se mettre en mouvement. Quand ils ne le sont pas déjà...

Le traité de Versailles fut très critiqué par ses contemporains, à commencer par l'économiste John Maynard Keynes. Pourtant, l'historien Jacques Bainville avait, dans "les Conséquences politiques de la paix", écrit une véritable prophétie.

Les mesures prises à la suite de l'annexion de la Crimée et le conflit dans l'est de l'Ukraine seront au cœur de la rencontre à Brégançon entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine. Mais, qu'en est-il des résultats? Enquête

L'ancien ministre, président de la fondation Res Publica, salue les initiatives d'Emmanuel Macron pour rapprocher la France et l'Europe de la Russie. Il appelle cependant à la détermination pour ne pas plier devant les résistances technocratiques.