L’Irak cherche à se tenir à l’écart du conflit. Mais l’Iran est tenté d’attaquer Israël depuis le territoire irakien et l’État hébreu, lui, cherche à cibler les milices chiites alliées à la République islamique.

La mer rouge, caisse de résonance du conflit israëlo-palestinien, prise entre les feux mal éteints des printemps arabes, de la rivalité entre l'Érythrée et l'Éthiopie et des jeux de puissances qui s'opèrent dans la région, demeure une frontière entre deux mondes qui ne semble pas partager le même destin.

Alors que le philosophe rapporte d'Ukraine un nouveau documentaire, il rappelle pourquoi les démocraties occidentales doivent lutter contre la coalition des nihilistes: Russie, Iran, Turquie, Chine, Hamas...

Deux ans et demi après l'invasion de l'Ukraine par la Russie, la guerre s'enlise et l'Union européenne se trouve au coeur d'un territoire très menacé, sans réelle autonomie militaire et de défense, tributaire de la protection de l'Alliance atlantique et des États-Unis. À mesure que la situation se prolonge et que la parenthèse pacifique du dernier demi-siècle se referme de plus en plus, la vulnérabilité de l'Union se fait plus grande.

Quelques semaines après la tenue des jeux Olympiques et et Paralympiques de Paris 2024, la candidature française à l'organisation des jeux d'hiver 2030 était confirmée par le Comité international olympique. La décision avait été prise sous réserve en juillet dernier, mais sans doute la très belle réussite des jeux d'été à Paris a-t-elle joué dans la confirmation donnée en octobre. Car après des mois de doutes et dénigrement, l'événement a été salué quasi unanimement comme un succès, dès la clôture des JO.

A coup sûr, Vladimir Poutine n'avait pas vu les choses comme ça. En lançant ses formes armées à l'assaut de l'Ukraine, le maître du Kremlin espérait renverser le pouvoir de Kiev en un tournemain et mettre le reste du monde devait le fait accompli. Au contraire, l'échec de l'offensive éclair a provoqué contre son pays une rafale de sanctions sans précédent. Mais la guerre qui dure a confirmé aussi, après le Covid, la fragilité des économies européennes et singulièrement leur dépendance aux matières premières que la Russie exporte.

L’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis participe d’un processus de fond, qui est à l’œuvre dans de plus en plus de pays et dans les relations internationales : la remise en cause de la règle de droit.

Les décisions que prendra Donald Trump dans les prochains mois auront un impact sur le monde entier. Entre protectionnisme, diplomatie transactionnelle et défis géopolitiques, se présidence sera marquée par des choix cruciaux, de la guerre en Ukraine à ses relations avec la Chine, notamment à travers l'augmentation des droits de douanes, une de ses promesses de campagne. 2025 sera donc une année clé pour comprendre ce que Donald Trump souhaite accomplir en matière de politique internationale.

Après les élections du 4 juillet dernier au Royaume-Uni et la victoire du parti travailliste, le nouveau premier ministre Keir Starmer semble vouloir une continuité sur les questions de l'OTAN et de l'Ukraine mais, contrairement aux Conservateurs, il souhaite un rapprochement avec l'Union européenne, particulièrement dans le domaine de la défense.

En mer de Chine du Sud, l’Empire du Milieu avance toujours davantage ses pions, patiemment, pour s’approprier îlots et zones maritimes. Des milices de pêcheurs rompus aux techniques paramilitaires font reculer les frontières.

Dans son nouvel essai à paraitre le 28 mars, l'essayiste explore le basculement du monde opéré par cinq néo-empires qui ciblent l'Occident.

Erika et André sont nés pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle est allemande, lui est français, et ensemble ils ont fondé une famille. Aujourd'hui, entre les deux pays, les relations sont au beau fixe. Impensable, à la fin de la guerre, il y a 80 ans ! Sommaire. Trois conflits en 80 ans. 1945 : "Après la guerre, nous repartons de zéro..." 1965 : "Nous avons 25 ans, c'est le temps de notre rencontre !" "Aujourd'hui, un couple franco-allemand, quoi de plus normal !"