Nul ne sait encore à quoi ressemblera la présidence de Donald Trump. Mais au vu de sa campagne incendiaire, de sa proximité avec la droite radicale et de la concentration des pouvoirs entre les mains des républicains, les craintes sont fortes. Notamment celle d'une liquidation pure et simple de l'héritage de Barack Obama. Mais aussi celle de dérives autoritaires. D'où le mot d'ordre de la journaliste Masha Gessen et du cinéaste Michael Moore : résister. Sommaire. Manuel de survie en autocratie. Une "Pravda" américaine ?. La grande régression. Le petit peuple a parlé.

Erreurs et mauvais calculs... Les opposants, qui se présentaient en 2011 comme les seuls à pouvoir renverser Assad, ne sont plus que l'ombre d'eux-mêmes.

Crass. Le mot vaut-il la peine d'être traduit tant il ressemble au Français ? Peut-être, car plus "crasse", il veut dire "insensible", "rustre". Et c'est le nom que s'est choisi un collectif punk qui bouscula la bonne société britannique des 1970 et 1980. Retour en 1978 : les Sex Pistols viennent de se séparer, pour certains, le punk - récupéré par l'industrie - est déjà mort. Crass entend renouveler le genre alternatif devenu trop populaire. Alors que la Grande-Bretagne vient de célébrer les 40 ans du punk, faut-il rendre hommage à Crass ?

A l'heure où l'Iran s'apprête à élire le 19 mai 2017, un président dans les conditions fixées par la Constitution islamique, la jeunesse iranienne, en rupture avec sa classe politique, entame une révolution sociale et culturelle méconnue dans le monde musulman. Avec ses 9 millions d'habitants, Téhéran est le théâtre privilégié de cette ébullition. Défiant l'autorité du guide suprême Ali Khamenei, les jeunes de la capitale, à travers leur mode de vie, leur dynamisme scientifique et leur créativité artistique, réinventent un pays moderne, ouvert et libre.

La construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes est une patate chaude que les responsables politiques se renvoient depuis presque quarante ans. Nicolas Hulot, nouveau ministre de la Transition écologique et solidaire, promet une solution d'ici à six mois... En attendant, une communauté de zadistes s'est construite, en quête d'un " vivre ensemble " respectueux de la terre. Paysans, squatteurs, anarchistes, hippies... Causette est partie à la rencontre de ces résistants.

A mi-chemin entre spectacle et meeting, "The Terms of My Surrender" se veut un appel à la rebellion individuelle.

Cet article analyse deux conflits environnementaux d'envergure qui marquent l'histoire de la prise de conscience des enjeux écologiques en Turquie : le soulèvement occasionné contre le projet de destruction du parc Gezi à Istanbul et la résistance de la ville d'Artvin à la construction d'une mine d'or dans la forêt à Cerattepe.

Ils lui obéissent les yeux fermés et partagent son rejet de Mustafa Kemal AtatŁurk, le " Père des Turcs ". Au despote éclairé et laïc, fondateur d'un Etat moderne, ils préfèrent un sultan qui veut renouer avec l'Empire ottoman. En complément, des focus sur le parc Gezi, lieu de contestation stambouliote, des portaits d'Asli Erdogan et Fethullh GŁulen, une bibliographie.

L'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche a-t-elle signé l'arrêt de mort de la gauche américaine ? Pas sûr, au regard du dynamisme affiché par certains mouvements progressistes.