Il aurait 100 ans aujourd'hui. Peintre énigmatique, ermite mondain, inoubliable directeur de la Villa Médicis, Balthus perpétue sa légende à la fondation Gianadda en Suisse, où Jean Clair a pu réunir une centaine de toiles et dessins.

D'ordinaire repliée sur elle-même, l'Académie de France à Rome ouvre grandes ses portes avec une exposition originale qui conduit les visiteurs jusque dans ses souterrains.

L'ex-conseiller culturel élyséen jette l'éponge en se reconnaissant un seul tort : "avoir cédé aux avances" du président et de son entourage qui l'ont poussé à se présenter avant de céder à leur tour devant "une cabale mondaine".

Cette année, la villa Médicis clôt un cycle de trois expositions autour de "la ville, le jardin, la mémoire".

La direction de l'Académie de France à Rome est un poste très convoité. Parce que la vie y est agréable, mais surtout parce qu'elle peut se révéler un tremplin pour atteindre les plus hautes sphères.

Après la polémique suscitée par la nomination de Georges-Marc Benamou à la direction de l'Académie de France à Rome, une commission doit calmer le jeu. En attendant de connaître le nom de son futur directeur, présentation d'une institution convoitée et critiquée.

Figure de proue de la présence française à Rome, la Villa Médicis continue sa mutation, innovant dans l'accueil des artistes et chercheurs et mettant en valeur son patrimoine par de multiples campagnes de restauration. Le point avec Eric de Chassey, son directeur depuis 2009.

Les nouvelles orientations de l'Académie de France à Rome.