Société de consommation
Article
Auteurs
Reynaert, François null
Bulletin : L'Obs 2781 - février 2018
Date parution pério
2018-02-22
Le ''tout sous un même toit"' est né en 1963. Aujourd'hui, les temples de la consommation sont en crise. Un changement de civilisation ?
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Numéros de page :
pp.16-17
Article
Auteurs
Radier, Véronique null
Bulletin : L'Obs 2787 - avril 2018
Date parution pério
2018-04-05
Après avoir révélé que les arbres sont des êtres sociaux, l'auteur allemand Peter Wohlleben s'intéresse à "la Vie secrète des animaux". Rencontre avec un écolo des bois qui appelle à résister au consumérisme ambiant. Sommaire. L'Homme qui chuchote à l'oreille des animaux. Bêtes humaines. Quand le cheval répare l'humain. Et si on cohabitait avec eux ?
Article
Bulletin : Projet 358 - juin 2017
Date parution pério
2017-06-01
Pour P. Moati, professeur agrégé d'économie à l'université Paris-Diderot, la société d'hyperconsommation empêche de construire une identité commune. En sortir suppose d'œuvrer pour une société du "faire" ensemble. Explications : la société malade de l'hyperconsommation, ce que serait un mode de vise soutenable, la convergence entre la crise de la consommation et celle du système économique... Pas de chiffres.
Article
Auteurs
Pinto, Louis null
Bulletin : Le Monde diplomatique 772
Date parution pério
2018-07-01
La "société de consommation" est un concept apparu dans les années 1960 comme une critique sociale. Cette notion a suscité la réaction de défenseurs de la société de consommation qui ont mis en avant la défense du livre choix du consommateur ont célébré la vertu du marché. Le monde politique a commencé à s'intéresser à ce débat dans les années 1970. Mais le conflit politique sur le consommateur a eu pour effet paradoxal d’imposer comme une donnée objective la société de consommation. Explications et détails. Pas de chiffres.
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Numéros de page :
p.3
Article
Auteurs
Kopp, Robert null
Bulletin : Revue des deux mondes 8
Date parution pério
2018-09-01
Il faut relire de toute urgence "la Culture du narcissisme" de Christopher Lasch, le grand sociologue de l'université de Rochester, mort il y a près de vingt-cinq ans d'une leucémie foudroyante. Dix ans après les mouvements de jeunes en Amérique et en Europe, il avait tenté de faire un bilan des modifications culturelles et psychologiques induites par le capitalisme consumériste.
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Numéros de page :
pp.178-181
Article
Auteurs
Bulletin : Projet 367 - décembre 2018
Date parution pério
2018-12-01
L’avènement de la société de consommation a représenté pour les Français une révolution de la vie quotidienne. Pourtant, elle ne s’est pas accompagnée d’une uniformisation des modes de consommation. Mais la hiérarchie sociale des consommations est restée inchangée. Dans les années 1960, l'avènement de la société de consommation a été à l'origine d'un débat qui n'a cessé de rebondir : apporte-t-elle du bien-être ou est-elle synonyme d'asservissement aux choses ? Décryptage. Quelques données chiffrées. Fait partie d'un dossier intitulé "Pourquoi est-il si bon de consommer ?"
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Auteurs
Perret, Bernard null
Bulletin : Projet 367 - décembre 2018
Date parution pério
2018-12-01
Les modes de consommation actuels sont insoutenables pour l’environnement et menacent la qualité du vivre ensemble. Il est aujourd’hui indispensable de penser autrement notre rapport aux objets, car à travers eux se jouent nos relations aux autres et à la nature. Décryptage. Peu de chiffres. Fait partie d'un dossier intitulé "Pourquoi est-il si bon de consommer ?"
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Numéros de page :
pp.14-19
Article
Auteurs
Chirat, Alexandre null
Bulletin : Projet 367 - décembre 2018
Date parution pério
2018-12-01
Soyons matérialistes ! Il y a plus d’un siècle, l’économiste américain Thorstein Veblen invitait à considérer les objets pour l’usage qu’ils satisfont, plutôt que pour leur valeur d’échange. Sa pensée reste d’une grande actualité. Elle invite à rompre avec le consumérisme. Sommaire. "Nous ne sommes pas assez matérialistes !". Donner pour être reconnu (interview d'Alain Caillé, sociologue et professeur émérite à l’université Paris X, et directeur de la "Revue du MAUSS" depuis sa fondation). Qui consomme quoi ? Pas de chiffres.
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Numéros de page :
pp.20-32
Article
Auteurs
Lazarus, Jeanne null
Bulletin : Projet 367 - décembre 2018
Date parution pério
2018-12-01
L’espoir des Trente Glorieuses était que les plus démunis s’intègrent dans une société où le mode de vie des classes moyennes aurait été généralisé. La crise et le chômage ont brisé ce schéma. Dès lors, la consommation peut sembler être le seul lien qui rattache les plus défavorisés à la société. Peu de chiffres. Fait partie d'un dossier intitulé "Pourquoi est-il si bon de consommer ?"
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Numéros de page :
pp.33-40
Article
Auteurs
Fossard, Renaud null
Bulletin : Projet 367 - décembre 2018
Date parution pério
2018-12-01
Nous sommes exposés chaque jour à des milliers d’incitations à consommer. Si certaines publicités s’affichent comme telles, les marques ont désormais recours à une vaste gamme de stratégies pour se rappeler à nous tout au long de la journée. Quelle place laissent-elles au libre arbitre du consommateur ? Court dossier. Sommaire. De l'extension du domaine de la pub. Publicité : avons-nous vraiment le choix ? Quelques données chiffrées. Un encadré : le marché publicitaire en chiffres. Pas de chiffres. Fait partie d'un dossier intitulé "Pourquoi est-il si bon de consommer ?"
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Numéros de page :
pp.41-48
Article
Auteurs
Bulletin : Projet 367 - décembre 2018
Date parution pério
2018-12-01
Si l’argent ne fait pas le bonheur, la consommation pourrait-elle s’en charger ? Selon les économistes du bonheur, toutes les consommations ne se valent pas. Celles qui rendent le plus heureux durablement sont celles qui renforcent notre identité et notre connexion aux autres. Fait partie d'un dossier intitulé "Pourquoi est-il si bon de consommer ?".
Article
Auteurs
Sauvage, Samuel null
Bulletin : Projet 367 - décembre 2018
Date parution pério
2018-12-01
Les objets ne sont pas faits pour durer. Cette obsolescence programmée s’accompagne d’une frénésie d’achats, source d’un plaisir éphémère. La course à la consommation semble être d'avantage un plaisir subi et opprimant qu'un plaisir recherché et émancipateur. A l'inverse, la consommation durable est génératrice d'un sentiment de satisfaction. Un encadré : oser la frugalité. Peu de chiffres. Fait partie d'un dossier intitulé "Pourquoi est-il si bon de consommer ?"
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Numéros de page :
pp.58-65