La boxe, le rugby... mais aussi le foot ! Car c'est là que les chocs à la tête sont les plus nombreux, au risque de graves séquelles, surtout chez les jeunes. A l'heure où débute l'Euro, Marine Corniou dévoile un vrai fléau.

Déchirures, musculaires, contusions et luxations sont des blessures bien connues de tous les sportifs, mais rares sont ceux qui ont déjà entendu parler de myosite ossifiante, un terme qui désigne une affection dans laquelle du tissu osseux se forme à l'intérieur du muscle après une blessure.

Les sportifs sont très nombreux à se blesser. Parfois par accident stupide, comme lors d'une entorse de cheville, mais beaucoup plus souvent en pratiquant mal leur sport. Et surtout en voulant en faire trop, trop vite. Et ça se paie.

Bien des adeptes de la course à pied sont trop maigres et ce n'est pas une bonne chose, car le risque de fracture de stress est cinq fois plus élevé chez eux que chez leurs homologues de poids normal. Le remède est de manger davantage... même si le problème est malgré tout plus complexe qu'il n'y paraît.

Nombre de sportifs ont volontiers recours aux antidouleurs... et ce souvent à titre préventif, pour éviter de trop subir à postériori le contrecoup d'un effort important. Pourtant, la prudence est de mise, car cette pratique n'a vraiment pas que de bons côtés !

Différentes organisations internationales élaborent des règles visant à diminuer les resiques de lésions cérébrales au cours de la pratique sportive. De nombreux accidents se produisent par exemple au sein des pelotons de coureurs cyclistes, et leurs conséquences sont souvent dramatiques. Pourtant, dans notre pays, nous entendons peu parler de mesures de protection. Une carence ?