Il est le principal espoir des Républicains pour 2027. Pourtant, la droite appréhende sa candidature avec plus de fatalisme que de passion.

En faisant passer pour dangereux les mouvements écologistes, le pouvoir cherche à disqualifier et dissuader leurs mobilisations, mais aussi à légitimer leur répression… et sa propre inaction environnementale.

Sourd aux critiques et au mouvement social, le président « ne lâche rien ».

Samedi 17 juin, La France insoumise tenait son deuxième grand rendez-vous entre militants et cadres du mouvement. Au programme : bilans, débats et élaboration des orientations pour les prochains mois. Malgré la sérénité affichée, des tiraillements internes persistent.

Ce 9 juin, 38 listes se présenteront aux élections européennes. Parmi elles, beaucoup ont peu de chance de dépasser le 1 %. Pourtant, du héraut du "Frexit" Florian Philippot à "l'écolo centriste" Jean-Marc Governatori en passant par Marine Cholley et les jeunes ingénieurs surdiplômés du parti Equinoxe, tous y croient : la "dynamique" est là, et la grosse surprise au bout du chemin aussi. Vraiment ? On les a suivis dans leur campagne.

Contrat de coalition, dîners entre unionistes, primaire, débat programmatique : à gauche, certains tentent de reconstruire l’unité pour la prochaine présidentielle en excluant le leader insoumis. Mais le chemin est encore long et la campagne des européennes a fait naître de nouveaux problèmes. L'analyse se conclut par l'interview du politiste Bruno Cautrès qui déclare : « Il faut être prudent avant de prononcer l’acte de décès de la Nupes » et par l'article intitulé "Mélenchon en 2027 : ceux qui en rêvent encore".

Le scrutin européen du 9 juin 2024 aura avant tout des répercussions nationales : chaque force politique les envisage comme une épreuve de vérité permettant de préparer la prochaine présidentielle. Depuis La France insoumise jusqu'au Rassemblement national, en passant par le pouvoir macroniste, les grandes manoeuvres ont commencé et les couteaux s'aiguisent. Sommaire. Macron face au spectre des divisions. Trois gauches irréconciliables. Bardella - Le Pen : l'illusion du matricide.

Surprise dans la surprise. À peine Emmanuel Macron avait-il annoncé la dissolution que l'ancien ministre et repris de justice Jérôme Cahuzac dégainait sa candidature. Cela se passera là où tout a commencé pour lui, dans le Lot-et-Garonne. Mais pourquoi ?

Après une défaite électorale et une campagne marquée par les divisions, les gauches ont réussi à imaginer les contours d’une nouvelle union pour contrer le péril fasciste. Sommaire. Front Populaire. Naissance d'un accord, renaissance de l'espoir. Face à l’extrême droite, un bloc syndical et citoyen. La montée au front.

Après la déflagration de la dissolution, les patientes recompositions du paysage politique, qui devaient prendre trois ans, vont se précipiter en trois semaines. Et les Français, confrontés à une campagne éclair, devront éviter les chausse-trapes avant de se rendre aux urnes. L'enquête se conclut par un article intitulé : "Dissolution, ces 8 pièges tendus aux citoyens".

Les élections européennes marquent un tournant historique. Jamais, même dans les années 1930, l'extrême droite n'avait atteint 40 % des suffrages en France. En prononçant la dissolution, le chef de l'Etat prend le risque du chaos. Sommaire. Légistatives sous haute tension, le pari de Macron. L'histoire secrète d'une décision historique. La stratégie "antisioniste "payante des Insoumis. La droite prise au piège. Le RN active le "plan Matignon". Comment l'appareil d'État se prépare à la victoire du RN. Le RN, prêt à tout pour séduire les patrons.

La présidente de la Commission européenne brigue un second mandat à haut risque.