L’attaque du 25 septembre 2020 devant les anciens locaux de "Charlie Hebdo" a relancé le débat sur l’islamisme radical, observe la presse étrangère. Mais peu de solutions concrètes en ressortent.

En mai 2022, le scandale autour de l'origine de pièces égyptiennes exposées au Louvre-Abou Dhabi, dans lequel est impliqué un ancien directeur de la « maison-mère » à Paris, a remis sous les projecteurs le trafic d'oeuvres d'art et d'antiquités en provenance du Moyen-Orient. À l'origine d'une partie du financement du terrorisme, il s'est mondialisé, laissant des preuves qui ressurgissent malgré l'obscurité persistante de ce marché juteux et de ses réseaux.

Fuyant les groupes terroristes, ils seraient près de 100000 à avoir trouvé refuge à Ouahigouya, au nord du pays. Les autorités peinent à les accueillir. Ce journal burkinabè est allé à leur rencontre.

Le risque s'intensifie et s'élargit au-delà du terreau habituel : un djihadisme du « coin de la rue » émerge, qui pose un défi majeur aux services de renseignements et à la société.

La documentariste Hélène Lam Trong est retournée dans l'ex-capitale de l'État islamique, en Syrie. Abandonnée, la population tente de survivre.

La cour d'assises spéciale de Paris s'apprête à juger ceux qui ont semé la haine sur les réseaux sociaux, entraînant la mort de ce professeur.

Le Tchétchène de 18 ans était un habitué des agressions ultraviolentes, jusqu'à l'étouffement. Son père était lié à un dignitaire d'Al-Qaeda.

Il avait 12 ans quand son père, Fabien Clain, l'a emmené en Syrie. Treize quand celui-ci a revendiqué les attentats du 13-Novembre. Aujourd'hui, son père est mort et Adem Clain a 22 ans. Il raconte son histoire depuis une prison syrienne.

Le 7 octobre 2023, le Hamas lance une attaque sans précédent : des combattants du mouvement islamiste palestinien pénètrent sur le territoire israélien, où ils tuent des centaines de civils et prennent des otages. Au-delà de la sidération et de l’horreur, l’événement dévoile les fragilités de l’État hébreu, qui riposte en bombardant Gaza, faisant des centaines de morts. La presse s’interroge : la région va-t-elle s’embraser ? Sommaire. “Nous sommes en train de vivre notre pire cauchemar”. Sur les lieux de la rave, l’apocalypse. Nétanyahou a une lourde responsabilité.

Au coeur du Sahel, le dispositif antidjihadiste de l'armée française s'acquitte avec bravoure d'une mission impossible.

On les appelle les «antiquités du sang». Pillées en Irak ou en Syrie, elles alimentent les finances de Daech et inondent le marché de l'art, souvent impunément. L'Unesco a même créé des «casques bleus» ... , dont la mission est un puits sans fond. Car ces pillages ne sont que la face visible d'un trafic tentaculaire, le plus lucratif au monde après celui de la drogue et des armes. Profits faramineux, risques minimes, ce négoce prospère sur les zones d'ombre du monde de l'art.