En 2015, selon selon l'UNODC (Office des Nations unies contre la drogue et le crime), environ 5 % de la population mondiale ont consommé de la drogue au moins une fois. Près de 30 millions des consommateurs (11 %) souffrent de désordres associés et 200 000 en sont décédés.

Dans les shampoings, bouteilles ou jouets en plastique, les produits chimiques ont envahi notre quotidien depuis plusieurs dizaines d’années. Parmi eux, des substances intriguent : certaines molécules, pourtant fréquemment utilisées, semblent nocives à plus ou moins long terme. Elles bouleversent le fonctionnement du système hormonal, en particulier chez les plus jeunes, avec des conséquences qui peuvent être dramatiques. Comment fonctionnent ces "perturbateurs endocriniens" ? Quels sont les risques et comment les éviter ?

Ils tuent davantage que les accidents de la route ou les armes à feu. Après avoir ravagé les ghettos noirs dans les années 1990, les opiacés déciment désormais les banlieues pavillonnaires et la petite classe moyenne américaines. Inédite par son ampleur et par ses victimes, cette épidémie d'overdoses l'est aussi par son origine : les consommateurs sont devenus dépendants en avalant des antidouleurs prescrits par leur médecin.

Téléchargée par 3,8 millions de personnes, Yuka permet de connaitre les qualités et les défauts des produits alimentaires transformés. Et s'attaque maintenant aux cosmétiques.

Faire remonter cette information est décisif pour faire prendre conscience à un médecin qu'il n'aurait pas dû prescrire un médicament. Une stratégie qui est en train d'enrayer le fléau des morts d'overdoses par opioïdes prescrits médicalement aux Etats-Unis

Malgré l’alerte lancée il y a plus de cinquante ans sur cette pollution d’origine agricole et la mort de plusieurs personnes et animaux, les autorités n’ont toujours pas pris les mesures adaptées à ce phénomène. Alors qu’études scientifiques et associations citoyennes l’ont abondamment documenté. Sommaire. Les algues vertes, fossoyeuses du vivant. Un demi-siècle de déni politique".

Posséder du protoxyde d'azote sera prochainement interdit au Royaume-Uni- sa production et son importation le sont déjà. La décision, annoncée le 26 mars par le gouvernement conservateur, est diversement accueillie outre-Manche. Sommaire. Oui, pour aider les plus jeunes. Non, la prohibition est contreproductive.

Depuis 1979, la République islamique punit très sévèrement la consommation d'alcool. Celle-ci existe pourtant, alimentée par la contrebande et les distillateurs clandestins. Ces breuvages, préparés artisanalement, ne sont toutefois pas sans risques.