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La Musique de Tchekhov, une médecine de l'âme

Numéros de page :
10 p. / p. 227-236
Il s'agit moins ici de la musique de sa plume, si souvent remarquée, que de celle qu'il évoque, "allégorise", suggère et ausculte inlassablement, depuis les hymnes en vieux slavon de sa prime enfance, jusqu'à ce "son qui meurt tristement" à la fin de "La Cerisaie"...