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L'|Antispiritualité d'Alexandra David-Neel

Numéros de page :
pp.75-82
Parce qu’elle s’est déclarée bouddhiste, s’est rendue à Lhassa et a beaucoup écrit sur le Tibet, Alexandra David-Neel (1868-1969) passe souvent pour un « maître spirituel », une « mystique », une adepte des religions tibétaines. Pourtant, le bouddhisme auquel elle souscrit est dénué de toute transcendance et de la pratique de rituels. Il doit bien plus à l’influence des théosophes britanniques qu’à celle des maîtres asiatiques.