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Mon magasin ne vaut plus rien !

Numéros de page :
pp.44-49
Ils sont bouchers, quincailliers, buralistes, pâtissiers. Et ils possèdent un fonds de commerce, ce capital patiemment constitué censé leur garantir une retraite digne de ce nom. Mais personne n'en veut. Les prix s'effondrent. Témoignages édifiants.